Me NIANG, dossier en main
Les dignitaires de l'ancien régime ou tout au moins ceux qui sont soupçonnés d'enrichissement illicite ont de nouveaux soucis à se faire. L'Etat du Sénégal vient de renforcer le dispositif de défense de ses intérêts en sollicitant les services de l'avocat sénégalais, Me Papa Khaly Niang, du barreau de l'Essonne, en banlieue parisienne.
Le pedigree de cet avocat émérite renseigne sur la ferme volonté des autorités sénégalaises à tout mettre en œuvre afin de recouvrer totalité ou partie de l'argent public qui aurait été "volé" et "caché" à l'étranger par des dignitaires du défunt régime de Me Wade dont certains ont déjà été entendus par la justice dans ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire des "biens mal acquis". Considéré comme l'un des pénalistes les plus reconnus, Maitre Khaly Niang est connu pour avoir, entre autres, défendu plusieurs dossiers sensibles qui ont défrayé la chronique judiciaire de ces dernières années: l'affaire du colonel Baby en Mauritanie ou l’affaire Paris "MBoko", le plus grand scandale immobilier franco-sénégalais. Il est aussi l’avocat des victimes françaises dans l’affaire du bateau le Joola et a assuré la défense de l’ancien Premier Ministre Idrissa Seck dans l’affaire des "chantiers de thiès" et d'atteinte à la sureté de l’Etat, l’avocat de la famille dans le cadre de l’instruction ouverte à Paris sur la mort de Katoucha Niane, ex-égérie d'Yves Saint-Laurent.
Ces deniers mois, cet avocat titulaire d'un Doctorat en Droit Pénal et en Criminologie, a défendu avec hargne la thèse de la "légitime défense privilégiée" dans l’affaire de la mairie de Sicap Baobabs-Mermoz dans laquelle le Maire Barthélémy Dias avait été accusé de meurtre et emprisonné avant d'être libéré quelques mois plus tard.
Avocat très habitué aux procédures de la Cour de justice de la Cedeao pour avoir porté le dossier des "présumés terroristes sénégalais" au niveau de cette haute juridiction avant d'obtenir leur libération par la justice sénégalaise et a traîné l'Etat malien devant cette même dans l’affaire du gérant de la SARL ABELINK AFRIKA C/ République du Mali, mai 2011.
C'est dire combien les autorités sénégalaises entendent mettre tous les atouts de côté afin de rapatrier les deniers publics supposés "cachés" à l'étranger. Et le choix du Vice-Président du comité des pénalistes francophones, au vue de l'expérience qu'il a emmagasinée dans ce genre de dossiers et également de son passage à l'école nationale de police de Dakar va, à coup sûr, donner au dossier une approche plus policière qui pourrait avoir pour mérite d'aller trouver les deniers des Sénégalais là où ils pourraient avoir été cachés.
Le pedigree de cet avocat émérite renseigne sur la ferme volonté des autorités sénégalaises à tout mettre en œuvre afin de recouvrer totalité ou partie de l'argent public qui aurait été "volé" et "caché" à l'étranger par des dignitaires du défunt régime de Me Wade dont certains ont déjà été entendus par la justice dans ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire des "biens mal acquis". Considéré comme l'un des pénalistes les plus reconnus, Maitre Khaly Niang est connu pour avoir, entre autres, défendu plusieurs dossiers sensibles qui ont défrayé la chronique judiciaire de ces dernières années: l'affaire du colonel Baby en Mauritanie ou l’affaire Paris "MBoko", le plus grand scandale immobilier franco-sénégalais. Il est aussi l’avocat des victimes françaises dans l’affaire du bateau le Joola et a assuré la défense de l’ancien Premier Ministre Idrissa Seck dans l’affaire des "chantiers de thiès" et d'atteinte à la sureté de l’Etat, l’avocat de la famille dans le cadre de l’instruction ouverte à Paris sur la mort de Katoucha Niane, ex-égérie d'Yves Saint-Laurent.
Ces deniers mois, cet avocat titulaire d'un Doctorat en Droit Pénal et en Criminologie, a défendu avec hargne la thèse de la "légitime défense privilégiée" dans l’affaire de la mairie de Sicap Baobabs-Mermoz dans laquelle le Maire Barthélémy Dias avait été accusé de meurtre et emprisonné avant d'être libéré quelques mois plus tard.
Avocat très habitué aux procédures de la Cour de justice de la Cedeao pour avoir porté le dossier des "présumés terroristes sénégalais" au niveau de cette haute juridiction avant d'obtenir leur libération par la justice sénégalaise et a traîné l'Etat malien devant cette même dans l’affaire du gérant de la SARL ABELINK AFRIKA C/ République du Mali, mai 2011.
C'est dire combien les autorités sénégalaises entendent mettre tous les atouts de côté afin de rapatrier les deniers publics supposés "cachés" à l'étranger. Et le choix du Vice-Président du comité des pénalistes francophones, au vue de l'expérience qu'il a emmagasinée dans ce genre de dossiers et également de son passage à l'école nationale de police de Dakar va, à coup sûr, donner au dossier une approche plus policière qui pourrait avoir pour mérite d'aller trouver les deniers des Sénégalais là où ils pourraient avoir été cachés.
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