En effet, le niveau de dégradation de la pelouse du stade Léopold Sédar Senghor est inquiétant. Le gazon, ou ce qu'il en reste, est actuellement dans un état de délabrement très avancé; la pelouse ne répond plus aux normes pour accueillir des compétitions internationales, selon le journal Le Quotidien.
Le journal indique que le terrain s'est détérioré au point que le ministre des Sports, Matar Bâ, a débarqué d'urgence sur les lieux hier, lundi 23 juillet, pour trouver une solution "commando", étant entendu que dans trois mois, au mois d'octobre prochain, le Sénégal accueille le Soudan pour le compte des qualifications de la Can-2019.
"D'ici au mois d'octobre, techniquement il sera impossible d'avoir une pelouse de qualité, tranche un expert interrogé par Le Quotidien. Il est impossible de décaper le gazon pour avoir une nouvelle pelouse. Une pelouse en bon état, on ne peut pas l'avoir en trois mois. Du moment où le travail a été mal fait au départ, tout exercice sera du bricolage. Et là, ils sont obligés de procéder au placage, seule alternative qui s'offre à eux et qui ne donne aucune garantie."
Quand la pénurie d’eau s’y mêle
Depuis, la situation s’est évidemment aggravée avec un stade qui manque d’eau (pénurie oblige). Et si on y ajoute l’organisation des combats de lutte, on devine l’état actuel de la « meilleure pelouse d’Afrique » pour reprendre les propos de l’entrepreneur Mbaye Faye. D’ailleurs, les lionceaux U20 ont pris leur dose samedi dernier lors de leur match contre le Congo. Les gamins de Youssouf Dabo ayant été accueillis par un gazon jaunâtre et visiblement assoiffé d’eau. Ce qui a impacté leur prestation « sauvée » finalement par les quatre buts inscrits avec au bout, une 3e qualification d’affilée à une Can U20.
Le journal indique que le terrain s'est détérioré au point que le ministre des Sports, Matar Bâ, a débarqué d'urgence sur les lieux hier, lundi 23 juillet, pour trouver une solution "commando", étant entendu que dans trois mois, au mois d'octobre prochain, le Sénégal accueille le Soudan pour le compte des qualifications de la Can-2019.
"D'ici au mois d'octobre, techniquement il sera impossible d'avoir une pelouse de qualité, tranche un expert interrogé par Le Quotidien. Il est impossible de décaper le gazon pour avoir une nouvelle pelouse. Une pelouse en bon état, on ne peut pas l'avoir en trois mois. Du moment où le travail a été mal fait au départ, tout exercice sera du bricolage. Et là, ils sont obligés de procéder au placage, seule alternative qui s'offre à eux et qui ne donne aucune garantie."
Quand la pénurie d’eau s’y mêle
Depuis, la situation s’est évidemment aggravée avec un stade qui manque d’eau (pénurie oblige). Et si on y ajoute l’organisation des combats de lutte, on devine l’état actuel de la « meilleure pelouse d’Afrique » pour reprendre les propos de l’entrepreneur Mbaye Faye. D’ailleurs, les lionceaux U20 ont pris leur dose samedi dernier lors de leur match contre le Congo. Les gamins de Youssouf Dabo ayant été accueillis par un gazon jaunâtre et visiblement assoiffé d’eau. Ce qui a impacté leur prestation « sauvée » finalement par les quatre buts inscrits avec au bout, une 3e qualification d’affilée à une Can U20.
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