Samedi prochain, le Cameroun et les Comores se disputeront leur billet pour la CAN 2019 lors du choc programmé à Yaoundé. Mais la lutte pour la qualification se joue aussi sur le terrain judiciaire avec le recours des Comores devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). La Fédération insulaire réclame en effet la stricte application du règlement et la disqualification du Cameroun suite à la perte de son statut de pays-hôte, ce que la Confédération africaine de football (CAF) a refusé, préférant jouer la carte de l’apaisement.
Problème : la Fédération des Comores (FFC) est loin de rouler sur l’or et ce recours devant le TAS coûte cher. Du coup, les Coelacanthes viennent de mettre la pression sur la FIFA dans une lettre révélée par Jeune Afrique et qui réclame l’aide de l’instance dirigeante du ballon rond pour les aider à payer une partie des frais avancés avec une deadline fixée à ce lundi midi. "Nous attirons votre attention urgente sur un dysfonctionnement du système de résolution des différends prévu par les statuts de la FIFA et de la Confédération Africaine de Football (CAF), à savoir le recours au Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Sans intervention de la part de la FIFA d’ici au lundi 18 mars 2019 à midi (heure de Moroni), la FFC sera contrainte de se tourner vers les tribunaux ordinaires égyptiens (lieu du siège de la CAF, situé au Caire, ndlr)", a mis en garde la FFC.
L’instance a par ailleurs déploré l’attitude de la CAF, accusée d’avoir refusé de prendre en charge une partie frais engagés par les Comores dans cette procédure. "La CAF a également réagi à la lettre de la FFC, en écrivant elle-même au TAS pour signifier qu’elle refusait de payer sa propre part de l’avance de frais, alors même qu’elle en a les moyens financiers et qu’elle admet payer d’habitude les avances de frais demandées par le TAS. (…) Il s’agit donc d’une tentative flagrante de la CAF de profiter des moyens restreints de la FFC pour obtenir la fin de la procédure arbitrale sans que la FFC puisse être entendue", ont taclé les Comores. On devrait en savoir plus à ce sujet au cours des prochaines heures…
Problème : la Fédération des Comores (FFC) est loin de rouler sur l’or et ce recours devant le TAS coûte cher. Du coup, les Coelacanthes viennent de mettre la pression sur la FIFA dans une lettre révélée par Jeune Afrique et qui réclame l’aide de l’instance dirigeante du ballon rond pour les aider à payer une partie des frais avancés avec une deadline fixée à ce lundi midi. "Nous attirons votre attention urgente sur un dysfonctionnement du système de résolution des différends prévu par les statuts de la FIFA et de la Confédération Africaine de Football (CAF), à savoir le recours au Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Sans intervention de la part de la FIFA d’ici au lundi 18 mars 2019 à midi (heure de Moroni), la FFC sera contrainte de se tourner vers les tribunaux ordinaires égyptiens (lieu du siège de la CAF, situé au Caire, ndlr)", a mis en garde la FFC.
L’instance a par ailleurs déploré l’attitude de la CAF, accusée d’avoir refusé de prendre en charge une partie frais engagés par les Comores dans cette procédure. "La CAF a également réagi à la lettre de la FFC, en écrivant elle-même au TAS pour signifier qu’elle refusait de payer sa propre part de l’avance de frais, alors même qu’elle en a les moyens financiers et qu’elle admet payer d’habitude les avances de frais demandées par le TAS. (…) Il s’agit donc d’une tentative flagrante de la CAF de profiter des moyens restreints de la FFC pour obtenir la fin de la procédure arbitrale sans que la FFC puisse être entendue", ont taclé les Comores. On devrait en savoir plus à ce sujet au cours des prochaines heures…
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