
Une situation de désarroi secoue actuellement l’usine de CIMAF Sénégal, située à Poute, où 42 employés ont été licenciés de manière brutale et sans justification. Ces travailleurs ont exprimé leur frustration à travers un sit-in devant leur lieu de travail, dénonçant ce qu’ils considèrent comme des licenciements injustifiés.
Le porte-parole des employés licenciés, Babacar Gaye, a pris la parole lors de cette manifestation pour faire entendre la voix des travailleurs. "Nous sommes ici aujourd'hui pour réclamer nos droits. Nous demandons solennellement pourquoi ils nous ont licenciés. Nous voulons savoir le pourquoi. Nous sommes licenciés sans motif, sans préavis", a-t-il déclaré, visiblement affecté par cette décision unilatérale de la direction de CIMAF.
Selon les travailleurs, l’affaire a été portée devant l’Inspection du travail, qui a donné raison aux employés. Cependant, la direction de l'usine refuse de se conformer à la décision de l’Inspection, en refusant de leur verser les indemnités dues. "L'inspection nous a donné raison", a ajouté Babacar Gaye. Il a également précisé que certains des travailleurs licenciés ont été employés pour des durées variées allant de six mois à un an, tandis que d’autres étaient employés sans contrat formel.
Ces licenciements massifs et apparemment sans fondement ont profondément perturbé les salariés, qui se battent pour obtenir une compensation et des explications claires. Le porte-parole des travailleurs a souligné que certains employés étaient en contrat, mais qu’ils estiment ce dernier non valable, tandis que d’autres n’avaient carrément aucun contrat écrit.
Dans leur quête de justice, les travailleurs licenciés ont lancé un appel aux autorités étatiques, notamment au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et au Premier ministre, Ousmane Sonko. Ils espèrent que ces derniers interviendront pour faire cesser cette situation et pour qu’ils obtiennent ce qu’ils jugent être leur dû.
Le porte-parole des employés licenciés, Babacar Gaye, a pris la parole lors de cette manifestation pour faire entendre la voix des travailleurs. "Nous sommes ici aujourd'hui pour réclamer nos droits. Nous demandons solennellement pourquoi ils nous ont licenciés. Nous voulons savoir le pourquoi. Nous sommes licenciés sans motif, sans préavis", a-t-il déclaré, visiblement affecté par cette décision unilatérale de la direction de CIMAF.
Selon les travailleurs, l’affaire a été portée devant l’Inspection du travail, qui a donné raison aux employés. Cependant, la direction de l'usine refuse de se conformer à la décision de l’Inspection, en refusant de leur verser les indemnités dues. "L'inspection nous a donné raison", a ajouté Babacar Gaye. Il a également précisé que certains des travailleurs licenciés ont été employés pour des durées variées allant de six mois à un an, tandis que d’autres étaient employés sans contrat formel.
Ces licenciements massifs et apparemment sans fondement ont profondément perturbé les salariés, qui se battent pour obtenir une compensation et des explications claires. Le porte-parole des travailleurs a souligné que certains employés étaient en contrat, mais qu’ils estiment ce dernier non valable, tandis que d’autres n’avaient carrément aucun contrat écrit.
Dans leur quête de justice, les travailleurs licenciés ont lancé un appel aux autorités étatiques, notamment au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et au Premier ministre, Ousmane Sonko. Ils espèrent que ces derniers interviendront pour faire cesser cette situation et pour qu’ils obtiennent ce qu’ils jugent être leur dû.
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