Un mini-sommet Afrique sur son sol. Pour Mohammed VI, l’occasion était trop belle pour être manquée. Et jusqu’à la dernière minute la diplomatie marocaine s’est démenée pour réunir un maximum de chefs d’États, auquel participera aussi le président français. In fine ils devraient être une petite trentaine. Certains avec qui le royaume entretient des relations depuis longtemps comme la Côte d'Ivoire, le Sénégal ou le Gabon, entre autres.
Mais il y aura aussi des soutiens plus récents, venus d’Afrique de l’Est. Longtemps le Maroc a délaissé cette partie du continent mais Mohammed VI tente de s’en rapprocher depuis qu’il fait campagne pour réintégrer l’Union africaine. En octobre dernier il a effectué une visite officielle au Rwanda puis en Tanzanie, une première pour un roi du Maroc. Et Mohammed VI devrait se rendre bientôt en Éthiopie où se trouve le siège de l’Union africaine.
Pourtant mardi soir, le doute planait toujours sur la participation de certains États influents au sein de l’organisation. Celle de l’Éthiopie justement et aussi l’Égypte. Deux pays qui, en en juillet dernier à Kigali, n’avaient pas soutenu la motion appelant au retour du Maroc au sein de l’UA et la suspension de la République sahraouie.
Le royaume avait quitté l'organisation en 1984 pour protester contre l’admission de la RASD, la République arabe sahraouie démocratique, considérée par Rabat comme un territoire marocain.
Mais il y aura aussi des soutiens plus récents, venus d’Afrique de l’Est. Longtemps le Maroc a délaissé cette partie du continent mais Mohammed VI tente de s’en rapprocher depuis qu’il fait campagne pour réintégrer l’Union africaine. En octobre dernier il a effectué une visite officielle au Rwanda puis en Tanzanie, une première pour un roi du Maroc. Et Mohammed VI devrait se rendre bientôt en Éthiopie où se trouve le siège de l’Union africaine.
Pourtant mardi soir, le doute planait toujours sur la participation de certains États influents au sein de l’organisation. Celle de l’Éthiopie justement et aussi l’Égypte. Deux pays qui, en en juillet dernier à Kigali, n’avaient pas soutenu la motion appelant au retour du Maroc au sein de l’UA et la suspension de la République sahraouie.
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