Des quatre équipes en lice dans le groupe C, l’Egypte est le plus détendu. Avec ses deux victoires en deux matches, sa qualification est déjà acquise. Et Hassan Shehata laissera plusieurs joueurs au repos comme le lui a demandé le défenseur Wael Goma’a. Qui veut aller loin ménage sa monture et les joueurs ont, pour certains, besoin de recharger leurs accus avent d’aborder les quarts de finale. Certains des Pharaons présents en Angola l ont dépassé les 35 ans et les conditions climatiques ne sont pas faciles pour les organismes. Pour autant les Egyptiens respecteront la règle du jeu et mettront tout en œuvre pour signer une troisième victoire consécutive face aux Ecureuils.
Dans la délégation béninoise on a remarqué l’arrivée des anciens internationaux Alain Gaspoz et Moussa Latoundji qui ont déjà une expérience de la CAN et qui ont été dépêchés en renfort afin d’identifier les éventuels problèmes d’organisation de l’équipe. Sur le terrain, le seul problème à régler sera celui de Stéphane Sességnon, l’inspirateur du jeu de l’équipe, qui est suspendu après avoir écopé d’un carton jeune contre le Mozambique, puis d’un deuxième face au Nigeria. Il est difficile à remplacer lui qui peut tout faire, organiser, lancer ses partenaires notamment Omotoyossi, vers le but ou aller marquer lui-même. Existe-t-il dans le groupe un joueur ayant le même profil ? Réponse sur la pelouse de Benguela.
Les Super Eagles du Nigeria joueront leur dernier match de groupe contre le Mozambique , sans leur défenseur et capitaine Joseph Yobo, qui fait soigner à Luanda une blessure à la cuisse.
Si le Mozambique peut considérer cette absence comme une bonne nouvelle, le jeune défenseur du Nigeria Mohammed Yusuf lui conseille de se méfier : « nous avons quelqu'un qui peut se substituer à lui. Apam va totalement s’imprégner de son rôle en défense centrale. Nous savons que notre tâche ne s’annonce pas gagnée d’avance. Le Mozambique nous l’avons rencontré deux fois lors des éliminatoires. Nous avons obtenu un nul sans but à Maputo et, chez nous, nous avons gagné in extremis. A Lubango, ils voudront prendre leur revanche. Ils seront très déterminés. Nous aussi », a déclaré le défenseur du FC Sion en Suisse.
Onyekachi Apam est prêt à entrer si le sélectionneur le lui demande : »Je suis disponible et serais très heureux de disputer la rencontre dès le coup d’envoi. Lorsque Shuaibu Amodu m’a demandé d’entrer en jeu contre le Bénin, je pense que je ne l’ai pas déçu ». Interrogé sur sa jeunesse et son manque d’expérience à vingt-quatre ans, Apam balaie ce reproche : »le football est un sport de jeunes. Si vous ne jouez jamais, comment pouvez-vous acquérir l’expérience de la haute compétition.
Le Nigeria peut chercher à tenir le résultat, un nul suffisant à son bonheur, mais il ne doit pas perdre alors que le Mozambique doit gagner.
« Mon équipe est jeune. Elle a encore énormément à apprendre. Nous avons inscrit deux buts contre notre camp, mais je ne les blâme pas. Ils ont fit le maximum et je crois que, jusqu’à présent, ils ont fait honneur à leur drapeau. D’ailleurs beaucoup sont venus me complimenter et à travers ma personne, ils visaient les joueurs et tout le groupe pour son culot, son courage, sa détermination et la qualité de leur football ». Cette fois encore, contre le Nigeria, le Mozambique jouera son rôle d’outsider à fond, « en faisant d’abord attention à otre défense. Contre les Super Eagles, nous n’avons pas le droit à la moindre erreur. Ils ont tant de joueurs qui peuvent faire la différence que nous devrons redoubler d’attention. Je connais bien l’équipe. En deux matches, lors des éliminatoires, ils n’ont trompé notre gardien qu’une seule fois, et encore pendant le temps additionnel du deuxième match chez eux à Abuja. A nous de faire en sorte que cela ne se reproduise pas à Lubango », ajouté Mar Nooj qui est déterminé à tout faire pour écarter le mondialiste nigérian.
Avant la dernière journée, l’Egypte a six points, le Nigeria trois points et le Bénin et le Mozambique, un point chacun. Un nul suffit au Nigeria pour entrer en quart de finale car, même si le Bénin bat l’Egypte, il serait battu conformément au règlement s’étant incliné lors de la deuxième journée face au Nigeria.
Source: Cafonline
Dans la délégation béninoise on a remarqué l’arrivée des anciens internationaux Alain Gaspoz et Moussa Latoundji qui ont déjà une expérience de la CAN et qui ont été dépêchés en renfort afin d’identifier les éventuels problèmes d’organisation de l’équipe. Sur le terrain, le seul problème à régler sera celui de Stéphane Sességnon, l’inspirateur du jeu de l’équipe, qui est suspendu après avoir écopé d’un carton jeune contre le Mozambique, puis d’un deuxième face au Nigeria. Il est difficile à remplacer lui qui peut tout faire, organiser, lancer ses partenaires notamment Omotoyossi, vers le but ou aller marquer lui-même. Existe-t-il dans le groupe un joueur ayant le même profil ? Réponse sur la pelouse de Benguela.
Les Super Eagles du Nigeria joueront leur dernier match de groupe contre le Mozambique , sans leur défenseur et capitaine Joseph Yobo, qui fait soigner à Luanda une blessure à la cuisse.
Si le Mozambique peut considérer cette absence comme une bonne nouvelle, le jeune défenseur du Nigeria Mohammed Yusuf lui conseille de se méfier : « nous avons quelqu'un qui peut se substituer à lui. Apam va totalement s’imprégner de son rôle en défense centrale. Nous savons que notre tâche ne s’annonce pas gagnée d’avance. Le Mozambique nous l’avons rencontré deux fois lors des éliminatoires. Nous avons obtenu un nul sans but à Maputo et, chez nous, nous avons gagné in extremis. A Lubango, ils voudront prendre leur revanche. Ils seront très déterminés. Nous aussi », a déclaré le défenseur du FC Sion en Suisse.
Onyekachi Apam est prêt à entrer si le sélectionneur le lui demande : »Je suis disponible et serais très heureux de disputer la rencontre dès le coup d’envoi. Lorsque Shuaibu Amodu m’a demandé d’entrer en jeu contre le Bénin, je pense que je ne l’ai pas déçu ». Interrogé sur sa jeunesse et son manque d’expérience à vingt-quatre ans, Apam balaie ce reproche : »le football est un sport de jeunes. Si vous ne jouez jamais, comment pouvez-vous acquérir l’expérience de la haute compétition.
Le Nigeria peut chercher à tenir le résultat, un nul suffisant à son bonheur, mais il ne doit pas perdre alors que le Mozambique doit gagner.
« Mon équipe est jeune. Elle a encore énormément à apprendre. Nous avons inscrit deux buts contre notre camp, mais je ne les blâme pas. Ils ont fit le maximum et je crois que, jusqu’à présent, ils ont fait honneur à leur drapeau. D’ailleurs beaucoup sont venus me complimenter et à travers ma personne, ils visaient les joueurs et tout le groupe pour son culot, son courage, sa détermination et la qualité de leur football ». Cette fois encore, contre le Nigeria, le Mozambique jouera son rôle d’outsider à fond, « en faisant d’abord attention à otre défense. Contre les Super Eagles, nous n’avons pas le droit à la moindre erreur. Ils ont tant de joueurs qui peuvent faire la différence que nous devrons redoubler d’attention. Je connais bien l’équipe. En deux matches, lors des éliminatoires, ils n’ont trompé notre gardien qu’une seule fois, et encore pendant le temps additionnel du deuxième match chez eux à Abuja. A nous de faire en sorte que cela ne se reproduise pas à Lubango », ajouté Mar Nooj qui est déterminé à tout faire pour écarter le mondialiste nigérian.
Avant la dernière journée, l’Egypte a six points, le Nigeria trois points et le Bénin et le Mozambique, un point chacun. Un nul suffit au Nigeria pour entrer en quart de finale car, même si le Bénin bat l’Egypte, il serait battu conformément au règlement s’étant incliné lors de la deuxième journée face au Nigeria.
Source: Cafonline
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