Le leader du Front pour le socialisme et la démocratie, Cheikh Bamba Dièye, invité de l’émission Grand Jury de la Rfm, a prévenu que l’opposition va résister, en cas de rejet de la candidature de Khalifa Sall dont la liste définitive sera rendue publique ce dimanche par le Conseil constitutionnel.
C’est Macky Sall lui-même qui a créé les conditions de la violence. D’abord en refusant de se conformer à la constitution, en s’attaquant de manière délibérée à ses adversaires politiques dans le but de les écarter de la compétition électorale. Il s’est acharné sur notre dispositif électoral, il l’a assombri et l’a enfoncé dans les ténèbres. Si on fait une lecture objective de la constitution, il est du droit de chaque citoyen, lorsque la loi ne s’applique plus à tout le monde, de résister et de faire face", dit l'ancien maire de Saint-louis.
Selon lui, notre sécurité, c’est de respect strict de la loi, par tous les citoyens, par les autorités politiques et le président de la République. Si vous voulez expulser plus de 20 candidats qui se sont battus depuis des années pour préparer quelque chose et qui ont légitimement le droit d’y être, c’est vous même qui créez les conditions de la violence et aucun citoyen ne devra accepter, je dis bien et j’assume cet état de fait. Résister est une obligation, se battre un devoir. Nous aussi nous mettrons tous les moyens pour faire face".
C’est Macky Sall lui-même qui a créé les conditions de la violence. D’abord en refusant de se conformer à la constitution, en s’attaquant de manière délibérée à ses adversaires politiques dans le but de les écarter de la compétition électorale. Il s’est acharné sur notre dispositif électoral, il l’a assombri et l’a enfoncé dans les ténèbres. Si on fait une lecture objective de la constitution, il est du droit de chaque citoyen, lorsque la loi ne s’applique plus à tout le monde, de résister et de faire face", dit l'ancien maire de Saint-louis.
Selon lui, notre sécurité, c’est de respect strict de la loi, par tous les citoyens, par les autorités politiques et le président de la République. Si vous voulez expulser plus de 20 candidats qui se sont battus depuis des années pour préparer quelque chose et qui ont légitimement le droit d’y être, c’est vous même qui créez les conditions de la violence et aucun citoyen ne devra accepter, je dis bien et j’assume cet état de fait. Résister est une obligation, se battre un devoir. Nous aussi nous mettrons tous les moyens pour faire face".
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