Nouvelle fausse alerte. Une femme, considérée comme un cas probable d'Ebola, a été hospitalisée et placée en chambre stérile à Bichat à Paris, a révélé Europe 1 ce vendredi matin. Mais les tests pratiqués sur cette patiente revenue récemment d'Afrique se sont révélés négatifs, a affirmé la ministre de la Santé Marisol Touraine, confirmant une information de BFMTV. Il ne s'agit donc pas de la terrible fièvre hémorragique qui a déjà fait 3439 morts en Afrique de l'Ouest depuis le début de l'année. La patiente en question est une journaliste américaine qui revenait d'un voyage au Liberia. «Des prélèvements ont été effectués et envoyés à l'Institut Pasteur de Lyon pour confirmer la contamination. Les résultats sont attendus d'ici 6 à 8 heures», écrivait en fin de matinée la radio sur son site internet. Le protocole en France face à des cas décrits comme «possibles» prévoit en effet des analyses pour confirmer ou infirmer la contamination.
Lors d'une conférence de presse, la ministre de la Santé a confirmé à 17 heures que cette patiente -comme 10 autres personnes depuis le début de l'épidémie - avait fait l'objet de tests biologiques qui se sont finalement révélés négatifs.
Pas de cas avéré selon le ministère
Sans démentir, le ministère de la Santé a assuré ce vendredi qu'aucun nouveau cas de fièvre Ebola avéré n'avait été recensé en France depuis celui de l'infirmière de MSF aujourd'hui guérie. «Si un cas d'Ebola venait à être confirmé en France, il ferait l'objet d'une information publique immédiate, ce n'est pas le cas pour l'instant» a-t-on indiqué au ministère. «On ne commente pas les suspicions», a-t-on ajouté. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait indiqué le 30 septembre lors d'une audition à l'Assemblée qu'à «ce jour, 350 signalement ont été effectués auprès de l'InVS et 10 cas ont été considérés comme possibles, ont donc été testés et se sont tous révélés négatifs» A l'heure actuelle, aucun cas de contamination en France n'a été déclaré en France. Mais l'inquiétude est belle et bien là : un bâtiment des services sociaux a été bouclé pendant une heure et demie pour une fausse alerte à Ebola jeudi soir à Cergy-Pontoise, en banlieue parisienne, après le malaise d'une personne africaine présentant des symptômes semblables à ceux du virus.
Lors d'une conférence de presse, la ministre de la Santé a confirmé à 17 heures que cette patiente -comme 10 autres personnes depuis le début de l'épidémie - avait fait l'objet de tests biologiques qui se sont finalement révélés négatifs.
Pas de cas avéré selon le ministère
Sans démentir, le ministère de la Santé a assuré ce vendredi qu'aucun nouveau cas de fièvre Ebola avéré n'avait été recensé en France depuis celui de l'infirmière de MSF aujourd'hui guérie. «Si un cas d'Ebola venait à être confirmé en France, il ferait l'objet d'une information publique immédiate, ce n'est pas le cas pour l'instant» a-t-on indiqué au ministère. «On ne commente pas les suspicions», a-t-on ajouté. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait indiqué le 30 septembre lors d'une audition à l'Assemblée qu'à «ce jour, 350 signalement ont été effectués auprès de l'InVS et 10 cas ont été considérés comme possibles, ont donc été testés et se sont tous révélés négatifs» A l'heure actuelle, aucun cas de contamination en France n'a été déclaré en France. Mais l'inquiétude est belle et bien là : un bâtiment des services sociaux a été bouclé pendant une heure et demie pour une fausse alerte à Ebola jeudi soir à Cergy-Pontoise, en banlieue parisienne, après le malaise d'une personne africaine présentant des symptômes semblables à ceux du virus.
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