Les cinq (5) personnes qui seraient impliquées dans une affaire de vente illégale de terrain au niveau de la forêt de Niamone situé dans le département de Bignona dans la basse Casamance, seront présentées ce lundi devant le procureur.
Un garde du corps d’un ancien président du Conseil départemental sous l’ère de Macky Sall, un employé de l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance, un enseignant et le cerveau de la bande B. Coly seraient à l’origine des ventes clandestines notées dans cette forêt de Niamone. Détenus dans les locaux de la Section de recherche de la gendarmerie a Ziguinchor, les mis en cause se tiendront devant le procureur, pour répondre de leurs actes.
Selon le journal Libération, le développement judiciaire de l’affaire n’a pas manqué de faire des heureux du côté du collectif pour la préservation de la forêt de Niamone. « Nous nous sommes félicités du premier acte posé par le procureur de la République que nous invitons à élargir l’enquête au regard de l’ampleur des dégâts et des responsabilités. Nous exhortons le Premier ministre, Ousmane Sonko à effectuer une descente sur le site pour s’enquérir de l’État de grave destruction de leur forêt », a attesté le président du collectif, Oumar Biagui.
À en croire le maire de la commune de Niamone, Atab Badji qui a déploré un retard dans la réaction des autorités administratives et de la justice en dépit des multiples alertes émise par le Conseil municipal sur l’ampleur de la destruction de la forêt classé de Niamone.
Un garde du corps d’un ancien président du Conseil départemental sous l’ère de Macky Sall, un employé de l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance, un enseignant et le cerveau de la bande B. Coly seraient à l’origine des ventes clandestines notées dans cette forêt de Niamone. Détenus dans les locaux de la Section de recherche de la gendarmerie a Ziguinchor, les mis en cause se tiendront devant le procureur, pour répondre de leurs actes.
Selon le journal Libération, le développement judiciaire de l’affaire n’a pas manqué de faire des heureux du côté du collectif pour la préservation de la forêt de Niamone. « Nous nous sommes félicités du premier acte posé par le procureur de la République que nous invitons à élargir l’enquête au regard de l’ampleur des dégâts et des responsabilités. Nous exhortons le Premier ministre, Ousmane Sonko à effectuer une descente sur le site pour s’enquérir de l’État de grave destruction de leur forêt », a attesté le président du collectif, Oumar Biagui.
À en croire le maire de la commune de Niamone, Atab Badji qui a déploré un retard dans la réaction des autorités administratives et de la justice en dépit des multiples alertes émise par le Conseil municipal sur l’ampleur de la destruction de la forêt classé de Niamone.
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