Mes amis de cette radio privée de Dakar, soutenus par le Synpics, se battent pour retrouver leur boulot et dans de meilleures conditions. Ils courent derrière des arriérés de salaires et font tout contre la mort programmée de leur outil de travail. C’est encore un cas qui rappelle pour ceux qui l’ont oublié, la précarité qui est la chose la plus partagée dans la presse sénégalaise.
Seulement l’affaire OCEAN FM repose le manque de sérieux de certains politiques et hommes d’affaires qui investissent le monde de la presse. Ils ne gèrent que leurs intérêts et se soucient peu de la situation de tous ces professionnels, de leur dignité ou les spécificités de leur profession. Tous ces politiques, bailleurs dans la presse doivent se rendre à l’évidence, ils ne peuvent pas être élus ou maintenus au pouvoir par une presse en dehors du souhait du peuple. La presse n’est que le reflet de la marche de la société.
Dans les plus grandes démocraties du monde comme la France ou les Etats-Unis, des hommes d’affaires sont souvent derrière des groupes de presse de même des politiques sont aussi proches sur le plan idéologique avec une certaine presse. Mais tout semble marcher dans le respect des règles de la profession, de la dignité des professionnels. Même si on peut relever des contres exemples dans ces pays modèles. On a parlé récemment de Nicolas Sarkozy qui semble avoir ses préférences pour les animateurs qui doivent occuper la lucarne sur les chaînes publiques. Tout de même on trouve en face des patrons de presse responsables qui peuvent s’opposer au Président pour le respect de l’éthique et de la déontologie. Sous nos tropiques ces bailleurs prennent leurs organes comme des moyens de propagande et de communication. Heureusement que le public en matière de presse sait faire la part des choses, aucun média privé comme public n’arrive pas à orienter l’opinion dans le sens voulu par ces Goebbels sénégalais. Ils jettent leur argent par la fenêtre, on parle de trois cent millions investis dans OCEAN FM, il en est de même de la RMD dont les studios prennent de l’eau avec la pluie et c’est toujours avec le Président du Sénat Pape Diop, ancien maire de Dakar. Des millions pour du vent qui méritent un détour d’explications à la DIC comme c’est dans l’air du temps.
Pour rester dans la presse, il n’y a pas plusieurs solutions, mettre votre argent et laisser les professionnels faire juste de l’information, de l’éducation et du divertissement. Tout le reste n’est que perte de temps et d’argent. Les professionnels de l’information et de la communication pour l’essentiel comprennent l’enjeu les quelques inconscients courent des risques au-delà de la crédibilité, la prison aussi à la place du bailleur comme notre ami directeur de publication de l’Express news de Farba Senghor.
Le combat de mes amis d’OCEAN FM est le combat de toute la presse et de tous ceux qui se battent pour une presse libre et démocratique. Il en sera peut-être toujours ainsi avec les bonnes intentions jamais suivies d’actes concrets, on attend toujours notre code de la presse !
Seulement l’affaire OCEAN FM repose le manque de sérieux de certains politiques et hommes d’affaires qui investissent le monde de la presse. Ils ne gèrent que leurs intérêts et se soucient peu de la situation de tous ces professionnels, de leur dignité ou les spécificités de leur profession. Tous ces politiques, bailleurs dans la presse doivent se rendre à l’évidence, ils ne peuvent pas être élus ou maintenus au pouvoir par une presse en dehors du souhait du peuple. La presse n’est que le reflet de la marche de la société.
Dans les plus grandes démocraties du monde comme la France ou les Etats-Unis, des hommes d’affaires sont souvent derrière des groupes de presse de même des politiques sont aussi proches sur le plan idéologique avec une certaine presse. Mais tout semble marcher dans le respect des règles de la profession, de la dignité des professionnels. Même si on peut relever des contres exemples dans ces pays modèles. On a parlé récemment de Nicolas Sarkozy qui semble avoir ses préférences pour les animateurs qui doivent occuper la lucarne sur les chaînes publiques. Tout de même on trouve en face des patrons de presse responsables qui peuvent s’opposer au Président pour le respect de l’éthique et de la déontologie. Sous nos tropiques ces bailleurs prennent leurs organes comme des moyens de propagande et de communication. Heureusement que le public en matière de presse sait faire la part des choses, aucun média privé comme public n’arrive pas à orienter l’opinion dans le sens voulu par ces Goebbels sénégalais. Ils jettent leur argent par la fenêtre, on parle de trois cent millions investis dans OCEAN FM, il en est de même de la RMD dont les studios prennent de l’eau avec la pluie et c’est toujours avec le Président du Sénat Pape Diop, ancien maire de Dakar. Des millions pour du vent qui méritent un détour d’explications à la DIC comme c’est dans l’air du temps.
Pour rester dans la presse, il n’y a pas plusieurs solutions, mettre votre argent et laisser les professionnels faire juste de l’information, de l’éducation et du divertissement. Tout le reste n’est que perte de temps et d’argent. Les professionnels de l’information et de la communication pour l’essentiel comprennent l’enjeu les quelques inconscients courent des risques au-delà de la crédibilité, la prison aussi à la place du bailleur comme notre ami directeur de publication de l’Express news de Farba Senghor.
Le combat de mes amis d’OCEAN FM est le combat de toute la presse et de tous ceux qui se battent pour une presse libre et démocratique. Il en sera peut-être toujours ainsi avec les bonnes intentions jamais suivies d’actes concrets, on attend toujours notre code de la presse !
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