La subvention prévue ‘’peut aller au-delà’’ de cette somme, en fonction des prévisions de collecte et des plans de financement qui seront proposés par les huiliers, a précisé à l’APS le ministre de l’Agriculture, de la Pisciculture et des Biocarburants, Fatou Gaye Sarr.
Elle s’exprimait en marge d’un point de presse convoqué pour officialiser le prix de l’arachide au producteur. La rencontre avec les journalistes s’est tenue à l’issue de la réunion hebdomadaire du Comité national chargé des intrants et du suivi des campagnes agricoles.
Au bout des concertations qu’il avait engagées, le CNIA avait d’abord décidé de fixer à 120 FCFA le prix de l’arachide au producteur dans l’optique d’appliquer ‘’la vérité des prix et en concertation avec les acteurs du secteur, a indiqué Amadou Moustapha Djigo, vice-président du CNIA.
Approché par la suite, le président de la République Abdoulaye Wade décide de porter ce prix à 165 FCFA comme l’année dernière, en subventionnant chaque kilogramme à hauteur de 45 francs CFA, a-t-il ajouté.
’’C’est que certainement, l’Etat a pris conscience des efforts qui ont été consentis par les uns et les autres’’ pour décider de cette subvention qui permettra aux producteurs ‘’de vivre de leurs productions’’, a commenté le vice-président du CNIA.
Remerciant les pouvoirs publics pour cet appui aux producteurs, il a appelé les huiliers et les opérateurs privés à prendre des ‘’dispositions idoines’’ pour que la campagne de commercialisation se déroule le mieux possible.
Les premiers doivent faire en sorte que les financements ‘’arrivent tôt’’, a-t-il précisé, en rappelant que de ce point de vue, des lettres signées par les autorités doivent permettre de dénouer les négociations avec les banques pour que les financement soient disponibles à temps.
Pour leur part, les opérateurs privés doivent faire en sorte que les collectes se fassent le mieux possible, que les prix annoncés soient pratiqués à l’échelle du territoire national, a dit Amadou Moustapha Djigo.
La fixation du prix au producteur, ‘’doit permettre aux huiliers, très rapidement, de proposer leurs prévisions de collecte’’ ainsi que leur plan de financement, pour que les subventions nécessaires soient dégagées, a résumé Fatou Gaye Sarr.
Pour le ministre, ‘’la subvention, c’est un effort de l’Etat’’ et comme tel, doit ‘’aller directement’’ au producteur au lieu d’être ‘’captée’’ par les intermédiaires de la filière.
Elle s’exprimait en marge d’un point de presse convoqué pour officialiser le prix de l’arachide au producteur. La rencontre avec les journalistes s’est tenue à l’issue de la réunion hebdomadaire du Comité national chargé des intrants et du suivi des campagnes agricoles.
Au bout des concertations qu’il avait engagées, le CNIA avait d’abord décidé de fixer à 120 FCFA le prix de l’arachide au producteur dans l’optique d’appliquer ‘’la vérité des prix et en concertation avec les acteurs du secteur, a indiqué Amadou Moustapha Djigo, vice-président du CNIA.
Approché par la suite, le président de la République Abdoulaye Wade décide de porter ce prix à 165 FCFA comme l’année dernière, en subventionnant chaque kilogramme à hauteur de 45 francs CFA, a-t-il ajouté.
’’C’est que certainement, l’Etat a pris conscience des efforts qui ont été consentis par les uns et les autres’’ pour décider de cette subvention qui permettra aux producteurs ‘’de vivre de leurs productions’’, a commenté le vice-président du CNIA.
Remerciant les pouvoirs publics pour cet appui aux producteurs, il a appelé les huiliers et les opérateurs privés à prendre des ‘’dispositions idoines’’ pour que la campagne de commercialisation se déroule le mieux possible.
Les premiers doivent faire en sorte que les financements ‘’arrivent tôt’’, a-t-il précisé, en rappelant que de ce point de vue, des lettres signées par les autorités doivent permettre de dénouer les négociations avec les banques pour que les financement soient disponibles à temps.
Pour leur part, les opérateurs privés doivent faire en sorte que les collectes se fassent le mieux possible, que les prix annoncés soient pratiqués à l’échelle du territoire national, a dit Amadou Moustapha Djigo.
La fixation du prix au producteur, ‘’doit permettre aux huiliers, très rapidement, de proposer leurs prévisions de collecte’’ ainsi que leur plan de financement, pour que les subventions nécessaires soient dégagées, a résumé Fatou Gaye Sarr.
Pour le ministre, ‘’la subvention, c’est un effort de l’Etat’’ et comme tel, doit ‘’aller directement’’ au producteur au lieu d’être ‘’captée’’ par les intermédiaires de la filière.
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