C’est la présidence angolaise qui l’a officiellement annoncé aux journalistes présents sur place pour couvrir l’évènement. Une information confirmée par la délégation congolaise : « On constate que la tripartite n’aura pas lieu puisqu’une partie n’est pas là », confie une source sur place.
La partie qui n’est pas là, c’est donc le Rwanda. Le président Paul Kagame ne s'est pas rendu à Luanda. En cause, explique Kigali, l’impasse des discussions suite au refus de Kinshasa à négocier directement avec le groupe armé du M23, rapporte notre correspondante Lucie Mouillaud. Selon le ministre des Affaires étrangères rwandais, Olivier Nduhungirehe, le sommet n’avait plus de « raison d’être » suite à l’impasse des discussions entre les chefs de la diplomatie.
En effet, des tensions étaient apparues samedi vers la fin de la journée au moment où les ministres des Affaires étrangères ont commencé leur round de discussions. Jusqu’ici, les réunions protocolaires s’étaient enchainées entre chaque délégation et les Angolais. « On travaille sur le scénario de la signature d’un accord », confirmait une source diplomatique samedi dans l’après-midi.
Mais c’est quand il a été question d’entrer dans le détail de cet accord que les esprits se sont échauffés. Les discussions ont duré une bonne partie de la nuit et les trois chefs de la diplomatie ne sont pas parvenus à s’entendre à l’issue de cette réunion. Ces discussions entre la RDC et le M23, exigées par les Rwandais, c’est la ligne rouge de Kinshasa depuis plus de deux ans. La RDC a demandé que ce groupe armé soi-même exclu du processus de Nairobi.
Est-ce que le processus de Luanda va pâtir de cet échec ? C’est une vraie question. À Kinshasa, avant cette rencontre, plusieurs diplomates restaient prudents parce qu’ils avaient l’impression que le président angolais essayait d’obtenir dans la précipitation un accord de paix.
Le président congolais arrivé lui plus tôt ce dimanche matin s'est rendu au palais présidentiel pour un tête-à-tête avec le chef de l’État angolais et l’ancien président kényan, Uhuru Kenyatta qui pilote l’autre processus, celui de Nairobi qui encadre les négociations avec groupes armés, rapporte notre correspondante à Kinshasa, Paulina Zidi.
La partie qui n’est pas là, c’est donc le Rwanda. Le président Paul Kagame ne s'est pas rendu à Luanda. En cause, explique Kigali, l’impasse des discussions suite au refus de Kinshasa à négocier directement avec le groupe armé du M23, rapporte notre correspondante Lucie Mouillaud. Selon le ministre des Affaires étrangères rwandais, Olivier Nduhungirehe, le sommet n’avait plus de « raison d’être » suite à l’impasse des discussions entre les chefs de la diplomatie.
En effet, des tensions étaient apparues samedi vers la fin de la journée au moment où les ministres des Affaires étrangères ont commencé leur round de discussions. Jusqu’ici, les réunions protocolaires s’étaient enchainées entre chaque délégation et les Angolais. « On travaille sur le scénario de la signature d’un accord », confirmait une source diplomatique samedi dans l’après-midi.
Mais c’est quand il a été question d’entrer dans le détail de cet accord que les esprits se sont échauffés. Les discussions ont duré une bonne partie de la nuit et les trois chefs de la diplomatie ne sont pas parvenus à s’entendre à l’issue de cette réunion. Ces discussions entre la RDC et le M23, exigées par les Rwandais, c’est la ligne rouge de Kinshasa depuis plus de deux ans. La RDC a demandé que ce groupe armé soi-même exclu du processus de Nairobi.
Est-ce que le processus de Luanda va pâtir de cet échec ? C’est une vraie question. À Kinshasa, avant cette rencontre, plusieurs diplomates restaient prudents parce qu’ils avaient l’impression que le président angolais essayait d’obtenir dans la précipitation un accord de paix.
Le président congolais arrivé lui plus tôt ce dimanche matin s'est rendu au palais présidentiel pour un tête-à-tête avec le chef de l’État angolais et l’ancien président kényan, Uhuru Kenyatta qui pilote l’autre processus, celui de Nairobi qui encadre les négociations avec groupes armés, rapporte notre correspondante à Kinshasa, Paulina Zidi.
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