Il s’agit de la réunion diplomatique la plus importante de l’histoire du monde. En effet, cent quatre-vingt-douze pays (192), une centaine de chefs d’Etat; au total, plus de trente mille personnes sont attendues dans la capitale danoise durant ces quinze jours de négociations qui s’annoncent serrées. Même le président américain, Barak Obama qui devait initialement passer un coup de vent avant de récupérer son prix Nobel, sera présent le dernier jour, le 18 décembre.
Une réunion cruciale puisqu’il traitera un des enjeux majeurs du sommet. Il s’agit de trouver une solution aux derniers différents qui pourraient encore subsister entre les pays industrialisés, principaux émetteurs de Gaz à Effet de Serre (GES), et les pays en développement, principales victimes du réchauffement climatique.
En outre la présence de tous les chefs d’états est une grande première. Il faut rappeler qu’en 1997, ils n’avaient pas participé à l’élaboration du protocole qui avait seulement réuni les ministres de l’environnement de l’époque.
Cependant on peut espérer car pendant ces deux dernières semaines des annonces ont été faites par les différents pays, notamment les principaux pays émetteurs comme la chine, les états unis la Russie et l’inde. Tous ont annoncé leur volonté de réduire leurs émissions de GES, avec même des objectifs chiffrés.
L’Afrique du sud a aussi fait savoir qu’elle réduirait ses émissions de 34% si les pays développés fournissaient une aide financière et technologique. Ces annonces ont aussi fait dire au secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki Moon qu’«il était très optimiste pour Copenhague »
Il faut rappeler que le continent africain est décidé à se faire entendre par une seule voix.
Une réunion cruciale puisqu’il traitera un des enjeux majeurs du sommet. Il s’agit de trouver une solution aux derniers différents qui pourraient encore subsister entre les pays industrialisés, principaux émetteurs de Gaz à Effet de Serre (GES), et les pays en développement, principales victimes du réchauffement climatique.
En outre la présence de tous les chefs d’états est une grande première. Il faut rappeler qu’en 1997, ils n’avaient pas participé à l’élaboration du protocole qui avait seulement réuni les ministres de l’environnement de l’époque.
Cependant on peut espérer car pendant ces deux dernières semaines des annonces ont été faites par les différents pays, notamment les principaux pays émetteurs comme la chine, les états unis la Russie et l’inde. Tous ont annoncé leur volonté de réduire leurs émissions de GES, avec même des objectifs chiffrés.
L’Afrique du sud a aussi fait savoir qu’elle réduirait ses émissions de 34% si les pays développés fournissaient une aide financière et technologique. Ces annonces ont aussi fait dire au secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki Moon qu’«il était très optimiste pour Copenhague »
Il faut rappeler que le continent africain est décidé à se faire entendre par une seule voix.
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