Apparue il y à 5 mois en Chine, la pandémie de coronavirus est en diminution dans le monde, dont en France, qu'il s'agisse du nombre de nouveaux cas ou des décès, mais elle n'est pas éteinte. De nouveaux foyers sont déclarés en France et 14 nouveaux cas révélés par la Chine ce dimanche. Aucun vaccin ou traitement n'ont encore été trouvés pour stopper définitivement le virus Sars-CoV-2 d'où la forte appréhension des pays face au déconfinement de la population. En chiffres, à date, le Covid-19 a contaminé plus de 4 millions de personnes et fait 281 200 morts. Le pays le plus touché est les Etats-Unis (1,32 million de cas et 79 100 décès selon l'Université John Hopkins).
En Europe, c'est l'Espagne qui totalise le plus de cas (223 500 cas) et le Royaume-Uni le plus grand nombre de morts (31 900) juste devant l'Italie (30 500 morts). Selon le dernier point du ministère de la santé du 9 mai, l'épidémie est toujours active et évolutive en France et le virus circule dans de nombreuses zones du territoire. 139 063 cas de Covid-19 sont recensés au 10 mai, 22 569 personnes hospitalisées pour une infection COVID-19 dont 2 776 en réanimation et 26 380 décès. Sur la dernière carte des départements présentée sur le site du ministère de la Santé au 9 mai, on recense : 32 départements classés "rouge", principalement l'Ile-de-France, le quart Nord-Est et Mayotte, et 69 autres départements sont "verts". A partir de lundi, le plan de déconfinement présenté le 7 mai par le Premier ministre Edouard Philippe entre en vigueur en France.
Il comprend notamment la réouverture des écoles, des commerces (hors centre commerciaux), le port du masque obligatoire dans les transports en commun, autorisation obligatoire de l'employeur pour les Français prenant les transports en commun, autorisation de se déplacer jusqu'à 100 km de son domicile à vol d'oiseau sans attestation de sortie. Au-delà, il en faudra une pour justifier le motif "impérieux, familial ou professionnel" du déplacement. La situation sanitaire permet un déconfinement progressif au 11 mai, avant une seconde phase qui s'étendra jusqu'au 2 juin. Elle permettra de vérifier que les mesures mises en œuvre permettent de contenir l'épidémie.
Et d'envisager les mesures pour la phase suivante : du 2 juin jusqu'à l'été. Jusqu'au 11 mai, chaque sortie du domicile doit toujours être justifiée par une attestation de déplacement, téléchargeable en ligne sur smartphone et présentable sous cette forme aux forces de l'ordre. Les versions papiers sont autorisées. Pour les déplacements professionnels, cette attestation est complétée par une autorisation signée par l'employeur. Pour le moment, les frontières de l'Union européenne et de l'espace Schengen sont fermées pour freiner la circulation du virus entre les gens et une attestation de déplacement dérogatoire doit être présentée à chaque personne voulant entrer en France depuis le 8 avril.
En Europe, c'est l'Espagne qui totalise le plus de cas (223 500 cas) et le Royaume-Uni le plus grand nombre de morts (31 900) juste devant l'Italie (30 500 morts). Selon le dernier point du ministère de la santé du 9 mai, l'épidémie est toujours active et évolutive en France et le virus circule dans de nombreuses zones du territoire. 139 063 cas de Covid-19 sont recensés au 10 mai, 22 569 personnes hospitalisées pour une infection COVID-19 dont 2 776 en réanimation et 26 380 décès. Sur la dernière carte des départements présentée sur le site du ministère de la Santé au 9 mai, on recense : 32 départements classés "rouge", principalement l'Ile-de-France, le quart Nord-Est et Mayotte, et 69 autres départements sont "verts". A partir de lundi, le plan de déconfinement présenté le 7 mai par le Premier ministre Edouard Philippe entre en vigueur en France.
Il comprend notamment la réouverture des écoles, des commerces (hors centre commerciaux), le port du masque obligatoire dans les transports en commun, autorisation obligatoire de l'employeur pour les Français prenant les transports en commun, autorisation de se déplacer jusqu'à 100 km de son domicile à vol d'oiseau sans attestation de sortie. Au-delà, il en faudra une pour justifier le motif "impérieux, familial ou professionnel" du déplacement. La situation sanitaire permet un déconfinement progressif au 11 mai, avant une seconde phase qui s'étendra jusqu'au 2 juin. Elle permettra de vérifier que les mesures mises en œuvre permettent de contenir l'épidémie.
Et d'envisager les mesures pour la phase suivante : du 2 juin jusqu'à l'été. Jusqu'au 11 mai, chaque sortie du domicile doit toujours être justifiée par une attestation de déplacement, téléchargeable en ligne sur smartphone et présentable sous cette forme aux forces de l'ordre. Les versions papiers sont autorisées. Pour les déplacements professionnels, cette attestation est complétée par une autorisation signée par l'employeur. Pour le moment, les frontières de l'Union européenne et de l'espace Schengen sont fermées pour freiner la circulation du virus entre les gens et une attestation de déplacement dérogatoire doit être présentée à chaque personne voulant entrer en France depuis le 8 avril.
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