Le Directeur général du Port autonome de Dakar Aboubacar Sédikh Bèye a parcouru par la route 1300 km de Dakar à Bamako en passant par Kayes pour une mission de prospection et d’évaluation du Corridor liant les deux pays. Dans le cadre de la mise en œuvre de son plan de transformation 2019-2023, le Port Autonome de Dakar a mis un accent particulier sur le corridor Dakar-Bamako.
En effet, le trafic gros porteur en provenance et à destination du Mali est estimé à plus de 400 camions en opération journalière. Aussi, le trafic à destination et en provenance du Mali s’est chiffré à plus de deux millions sept cent mille (2.700.000) tonnes en 2020. Dans le même temps, le corridor Dakar-Bamako se massifie d’année en année d’où un trafic automobile de plus en plus dense malgré l’absence de chemin de fer.
Les plateformes intermédiaires formelles quasi-inexistantes alors qu’elles sont d’une absolue nécessité pour la survie et le décongestionnement du Port de Dakar, à l’image des grands Ports d’Europe et d’Asie.
Dans cette optique, le plan stratégique du PAD cherche à renforcer la compétitivité du Port de Dakar par rapport aux autres corridors sur Bamako, diminuer l’encombrement de la ville de Dakar, minimiser le stationnement sur les accotements des axes routiers, favoriser des pôles d’attraction économiques et des plateformes de repli pour le Port de Dakar dans le but de mettre en œuvre l’une de ses missions principales qui est celle de : « Se positionner en tant qu’acteur logistique au service des économies ouest-africaines », à l’horizon 2023.
Selon la note d'information parvenue à PressAfrik, l’objectif principal de la mission est d’évaluer, par une démarche participative, l’état général de fonctionnement du corridor Dakar-Kayes-Bamako. Ainsi, la mission a pu mesurer à la fois les enjeux du trafic malien et l’impact sur l’économie des deux pays et la compétitivité du PAD en particulier.
À cette occasion, les goulots d’étranglement qui gangrènent la fluidité du trafic sur le corridor ont été identifiés, notamment sur l’état général des routes, les impacts sur les villes et agglomérations traversés, les zones de parking et stationnement dédiées le long du corridor entre autres. La prochaine étape sera celle de la réflexion et de la mise en œuvre de solutions aux problèmes identifiés, informe la note.
En effet, le trafic gros porteur en provenance et à destination du Mali est estimé à plus de 400 camions en opération journalière. Aussi, le trafic à destination et en provenance du Mali s’est chiffré à plus de deux millions sept cent mille (2.700.000) tonnes en 2020. Dans le même temps, le corridor Dakar-Bamako se massifie d’année en année d’où un trafic automobile de plus en plus dense malgré l’absence de chemin de fer.
Les plateformes intermédiaires formelles quasi-inexistantes alors qu’elles sont d’une absolue nécessité pour la survie et le décongestionnement du Port de Dakar, à l’image des grands Ports d’Europe et d’Asie.
Dans cette optique, le plan stratégique du PAD cherche à renforcer la compétitivité du Port de Dakar par rapport aux autres corridors sur Bamako, diminuer l’encombrement de la ville de Dakar, minimiser le stationnement sur les accotements des axes routiers, favoriser des pôles d’attraction économiques et des plateformes de repli pour le Port de Dakar dans le but de mettre en œuvre l’une de ses missions principales qui est celle de : « Se positionner en tant qu’acteur logistique au service des économies ouest-africaines », à l’horizon 2023.
Selon la note d'information parvenue à PressAfrik, l’objectif principal de la mission est d’évaluer, par une démarche participative, l’état général de fonctionnement du corridor Dakar-Kayes-Bamako. Ainsi, la mission a pu mesurer à la fois les enjeux du trafic malien et l’impact sur l’économie des deux pays et la compétitivité du PAD en particulier.
À cette occasion, les goulots d’étranglement qui gangrènent la fluidité du trafic sur le corridor ont été identifiés, notamment sur l’état général des routes, les impacts sur les villes et agglomérations traversés, les zones de parking et stationnement dédiées le long du corridor entre autres. La prochaine étape sera celle de la réflexion et de la mise en œuvre de solutions aux problèmes identifiés, informe la note.
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