Avoir de gros biceps semble être un grand atout pour nombre de jeunes pendant la campagne électorale. Avec les scènes de violence notées au début de la campagne, les jeunes aux gros bicepts ont la cote. Les scènes de violence notées en ce début de campagne électorale pour le scrutin du 29 juin n’ont pas suscité des mécontents chez seulement les Sénégalais épris de paix et de valeurs démocratiques. Certaines couches sociales semblent trouver leur compte dans ce climat de tension qui oppose certains candidats en lice. Il s’agit principalement des jeunes aux gros biceps. Avec cette tension, les ces jeunes ne chôment plus. Ils sont recrutés par les états-majors politiques pour assurer la sécurité des meetings, des caravanes et des visites de proximité. « Pendant la campagne, nous ne chômons plus. Nous aidons les partis à assurer la sécurité des convois. Nous sommes engagés par un membre du staff qui se chargera de nous payer.
Je ne peux pas te dire ce que nous gagnerons, mais sachez que nous aurons au moins de quoi nous payer de la cigarette », confie un jeune vêtu d’un tee-shirt rencontré dans le convoi de l’ancien maire de Dakar, Pape Diop. De taille environ 1 mètre 80, notre interlocuteur fait partie d’un groupe d’une dizaine de personnes chargées d’assurer la sécurité de Pape Diop. Il souligne que la non-violence est privilégiée. « Nous sommes pour la paix. Nous sommes tous des Sénégalais », fait-il savoir. Dans le convoi du secrétaire général du gouvernement, Seydou Guèye, ils sont plus d’une trentaine à escorter les convois. Les responsables de la liste, Benne Bokk Yaakar ne veulent certainement pas se faire encore surprendre. « Nous sommes vigilants. Nous ne laisserons personne perturber les meeting de notre leader », avertit un jeune. A Guédiawaye, ils sont plus d’une centaine à suivre le candidat Aliou Sall. Un dispositif presque identique est visible dans les convois du Premier ministre, Aminata Touré et du maire sortant de Dakar. Avec les derniers affrontements notre dernièrement à Grand Yoff, les forces en présence sont sur le qui-vive. Chaque camp veut s’affirmer.
D’où le recours aux gros biceps pour certainement décourager toute tentative de perturbation. Comme pour dire que ces gros biceps ont la cote. Pendant les deux semaines de campagne, ils n’auront sûrement pas de soucis d’argent.
Je ne peux pas te dire ce que nous gagnerons, mais sachez que nous aurons au moins de quoi nous payer de la cigarette », confie un jeune vêtu d’un tee-shirt rencontré dans le convoi de l’ancien maire de Dakar, Pape Diop. De taille environ 1 mètre 80, notre interlocuteur fait partie d’un groupe d’une dizaine de personnes chargées d’assurer la sécurité de Pape Diop. Il souligne que la non-violence est privilégiée. « Nous sommes pour la paix. Nous sommes tous des Sénégalais », fait-il savoir. Dans le convoi du secrétaire général du gouvernement, Seydou Guèye, ils sont plus d’une trentaine à escorter les convois. Les responsables de la liste, Benne Bokk Yaakar ne veulent certainement pas se faire encore surprendre. « Nous sommes vigilants. Nous ne laisserons personne perturber les meeting de notre leader », avertit un jeune. A Guédiawaye, ils sont plus d’une centaine à suivre le candidat Aliou Sall. Un dispositif presque identique est visible dans les convois du Premier ministre, Aminata Touré et du maire sortant de Dakar. Avec les derniers affrontements notre dernièrement à Grand Yoff, les forces en présence sont sur le qui-vive. Chaque camp veut s’affirmer.
D’où le recours aux gros biceps pour certainement décourager toute tentative de perturbation. Comme pour dire que ces gros biceps ont la cote. Pendant les deux semaines de campagne, ils n’auront sûrement pas de soucis d’argent.
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