« Quand les éléphants se battent ce sont les fourmis qui en pâtissent », dit l’adage. Depuis samedi 3 de ce mois 2024, le Sénégal est en train de s’éloigner de son havre de paix. Les signaux apparents perceptibles ou même et invisibles ne semblent pas jouer à la faveur d’un bon climat. Dans l’Oasis ouest africaine, bref dans l’espace CEDEAO, le feu est en train de couver. En témoignent les étincelles qui nous parviennent de partout. Au pays de la Téranga, l’on s’amuse à jouer avec le feu. Du fait d’intérêts et calculs politiques, des « tailleurs » vivant dans le Palace du Prince lui taillent, à volonté des costumes sur mesure. Dangereusement le Havre Sénégalais se dirige droit vers un incendie qui si on y prend pas garde peut entrainer l’irréparable. Dans l’actuelle jungle politique, il est mal aisé, également de bâillonner un groupe de presse. Et d’arracher à des dizaines de pères et mères de famille leur pitance.
Insidieusement, l’on s’invente des arguments pour se maintenir au pouvoir. Et des combines inconvenantes sont en train d’être jouées sur le dos du peuple. La plèbe encline à chercher la queue du diable pour la tirer, est restée les yeux hagards ce samedi 3 février, fatidiquement entrée dans l’histoire politique du Sénégal. Il n’est nul besoin de rappeler les faits. Ils parlent d’eux-mêmes. Seulement, il faut encore marteler que c’est la première fois dans ce pays, avec une longue tradition de vote et de transition politique paisible, il est « violé et violenté la volonté populaire ». Que de fois le Sénégal a frôlé de tomber dans l’abîme. Dangereusement et inconsciemment des hommes se croient avoir le droit de vie et de mort sur leur Peuple. Se prenant fondamentalement pour les seuls vivants dans cette portion de la planète terre.
Et qui est pour le peuple ou qui est du peuple ? Comme ce romain, qui interloqué de l’assassinat de César, demanda à un Sénateur : « êtes-vous du peuple ou pour le peuple ? » Une question bien embarrassante ! En ce moment également, orphelin, le peuple est à se poser la même question. Et elle parait bien légitime.
Insidieusement, l’on s’invente des arguments pour se maintenir au pouvoir. Et des combines inconvenantes sont en train d’être jouées sur le dos du peuple. La plèbe encline à chercher la queue du diable pour la tirer, est restée les yeux hagards ce samedi 3 février, fatidiquement entrée dans l’histoire politique du Sénégal. Il n’est nul besoin de rappeler les faits. Ils parlent d’eux-mêmes. Seulement, il faut encore marteler que c’est la première fois dans ce pays, avec une longue tradition de vote et de transition politique paisible, il est « violé et violenté la volonté populaire ». Que de fois le Sénégal a frôlé de tomber dans l’abîme. Dangereusement et inconsciemment des hommes se croient avoir le droit de vie et de mort sur leur Peuple. Se prenant fondamentalement pour les seuls vivants dans cette portion de la planète terre.
Et qui est pour le peuple ou qui est du peuple ? Comme ce romain, qui interloqué de l’assassinat de César, demanda à un Sénateur : « êtes-vous du peuple ou pour le peuple ? » Une question bien embarrassante ! En ce moment également, orphelin, le peuple est à se poser la même question. Et elle parait bien légitime.
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