Mauvaise saison pour les trafiquants de la faune. Après l’ivoire baleine protégée et les griffes de lion saisis, c’est autour des perroquets. Ce début de semaine, à la suite d'une longue enquête de cybercriminalité et plusieurs dénonciations aux services compétents, la Direction des Eaux et Forêts et les éléments de la Sûreté Urbaine de Dakar, appuyés par Eagle-Sénégal, ont procédé à l'interpellation d'un présumé trafiquant de perroquets en flagrant délit de détention et commercialisation très régulière de perroquets de type sud-américain, africain, australien, sans permis CITES, sans aucun papier d'accompagnement ou permis de commercialisation au Sénégal.
A la suite de la dénonciation du premier interpellé, une perquisition dans la région de Thiès a été organisée. Les perroquets gris du Gabon saisis lors de ce flagrant délit auraient été faussement bagués à la patte pour justifier leur commercialisation alors même qu'ils sont intégralement protégés et ne peuvent faire l'objet d'une quelconque commercialisation régulière au Sénégal et encore moins être importés ou exportés du Sénégal, car ils sont protégés par la Convention de Washington à son Annexe 1, interdisant tout commerce international de cet oiseau à son état sauvage. Quant au Ara Aranaura, originaire d'Amérique du Sud, le mis en cause ne possédait non plus, aucun document d'accompagnement en bonne et due forme avec la législation sénégalaise et la CITES.
Rappelons que tous ces perroquets dit ornement et de compagnie sont strictement contrôlés et protégés par le Code de la Chasse et de la Faune du Sénégal et par l'organe de gestion CITES basé à la Direction des Eaux et Forêts et Chasse à Dakar et qu'il convient de ne pas participer à leur disparition à l'état sauvage à cause de leur trafic intensif et ainsi tomber en infraction de détention, commercialisation et circulation de ces espèces partiellement ou intégralement protégées, de se rapprocher de ces dits services avant leur acquisition, détention, circulation et commercialisation.
A la suite de la dénonciation du premier interpellé, une perquisition dans la région de Thiès a été organisée. Les perroquets gris du Gabon saisis lors de ce flagrant délit auraient été faussement bagués à la patte pour justifier leur commercialisation alors même qu'ils sont intégralement protégés et ne peuvent faire l'objet d'une quelconque commercialisation régulière au Sénégal et encore moins être importés ou exportés du Sénégal, car ils sont protégés par la Convention de Washington à son Annexe 1, interdisant tout commerce international de cet oiseau à son état sauvage. Quant au Ara Aranaura, originaire d'Amérique du Sud, le mis en cause ne possédait non plus, aucun document d'accompagnement en bonne et due forme avec la législation sénégalaise et la CITES.
Rappelons que tous ces perroquets dit ornement et de compagnie sont strictement contrôlés et protégés par le Code de la Chasse et de la Faune du Sénégal et par l'organe de gestion CITES basé à la Direction des Eaux et Forêts et Chasse à Dakar et qu'il convient de ne pas participer à leur disparition à l'état sauvage à cause de leur trafic intensif et ainsi tomber en infraction de détention, commercialisation et circulation de ces espèces partiellement ou intégralement protégées, de se rapprocher de ces dits services avant leur acquisition, détention, circulation et commercialisation.
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