Ceux qui pensaient que la direction de l’université Gaston Berger de Saint-Louis céderait à la pression des étudiants peuvent déchanter. Cette dernière se radicalise même devant la pression des étudiants. Le recteur, président de l’université, Mary Teuw Niane, a en effet décidé « de demander aux forces de l’ordre de rester en stationnement dans le campus pédagogique et de se déployer dans le campus social, s’il le faut, pour permettre aux étudiants qui veulent passer leurs examens de le faire en toute sécurité ». L’information est donnée dans un communiqué rendu public par la direction de l’université.
Cette décision fait suite aux manifestations dirigées par les délégués de l’Ufr de sciences appliquées et technologies (Ufr Sat), depuis quelques jours. Au nombre de quatre et tous en Dea de mathématiques appliquées, option statistique ces étudiants perturbent les examens.
Les raisons de ces perturbations "une demande introduite par les mêmes délégués. La raison cette fois -ci est la participation de certains étudiants au concours d’entrée à l’école polytechnique de Thiès (Ept). Cependant, la direction de l’Ufr Sat a alors estimé, compte-tenu des délais de correction et de la proximité de la fin de l’année, qu’il était opportun de maintenir la date retenue pour le contrôle en informatique. Une session de remplacement serait ensuite organisée pour les absents. Les délégués s’opposent alors à cette décision. Ils perturbent les contrôles, demandant à la direction de réorganiser l’examen le lundi suivant".
"Toutes les voies de pression usées, les quatre délégués ont tout décidé de monter à la vitesse supérieure. Leur université devant cette année abriter la 32ème session du Cames, ils promettent de saboter l’organisation. Sur le qui vive, l’administration universitaire a recouru aux services des forces de l’ordre". "Les étudiants ont protesté face à la présence des hommes de tenue. La direction riposte et se défend, la présence des forces de l’ordre dans le campus pédagogique ne constitue pas une violation des franchises universitaires ", indique le communiqué qui ajoute que , « les actes de violence et de terreur ne sont pas couverts par les franchises universitaires ». Donc, l’université n’est nullement prête à renvoyer ces hommes de tenue.
Sur un autre registre, partant du constat « qu’il n’entrait pas dans les prérogatives d’un étudiant de décider de l’organisation d’un contrôle continu ou de celle d’un examen », la direction entend entamer « une procédure disciplinaire ». Ceci afin « de sanctionner au titre des manquements à la discipline académique sans préjudice aux sanctions pénales encourues par les auteurs d’actes d’indiscipline portant atteinte à l’intégrité physique des personnes, leur intégrité morale ou leurs biens ».
Cette décision fait suite aux manifestations dirigées par les délégués de l’Ufr de sciences appliquées et technologies (Ufr Sat), depuis quelques jours. Au nombre de quatre et tous en Dea de mathématiques appliquées, option statistique ces étudiants perturbent les examens.
Les raisons de ces perturbations "une demande introduite par les mêmes délégués. La raison cette fois -ci est la participation de certains étudiants au concours d’entrée à l’école polytechnique de Thiès (Ept). Cependant, la direction de l’Ufr Sat a alors estimé, compte-tenu des délais de correction et de la proximité de la fin de l’année, qu’il était opportun de maintenir la date retenue pour le contrôle en informatique. Une session de remplacement serait ensuite organisée pour les absents. Les délégués s’opposent alors à cette décision. Ils perturbent les contrôles, demandant à la direction de réorganiser l’examen le lundi suivant".
"Toutes les voies de pression usées, les quatre délégués ont tout décidé de monter à la vitesse supérieure. Leur université devant cette année abriter la 32ème session du Cames, ils promettent de saboter l’organisation. Sur le qui vive, l’administration universitaire a recouru aux services des forces de l’ordre". "Les étudiants ont protesté face à la présence des hommes de tenue. La direction riposte et se défend, la présence des forces de l’ordre dans le campus pédagogique ne constitue pas une violation des franchises universitaires ", indique le communiqué qui ajoute que , « les actes de violence et de terreur ne sont pas couverts par les franchises universitaires ». Donc, l’université n’est nullement prête à renvoyer ces hommes de tenue.
Sur un autre registre, partant du constat « qu’il n’entrait pas dans les prérogatives d’un étudiant de décider de l’organisation d’un contrôle continu ou de celle d’un examen », la direction entend entamer « une procédure disciplinaire ». Ceci afin « de sanctionner au titre des manquements à la discipline académique sans préjudice aux sanctions pénales encourues par les auteurs d’actes d’indiscipline portant atteinte à l’intégrité physique des personnes, leur intégrité morale ou leurs biens ».
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