17h au terminus qui se trouve derrière l’Institut Pasteurs de Dakar vers la corniche, des bus de la société de transport Dakar Dem Dikk (DDD) sont sur place. C’est sur cette place que prend départ la ligne numéro 7 des bus de DDD pour rejoindre le quartier de Ouakam. A 17h passé le chauffeur et le contrôleur se dirigent vers le bus. A l’ouverture des portes les clients se précipitent pour avoir une place sur une chaise.
Le bus se met en route c’est pour passer devant l’institut Pasteur, devant les hôpitaux Le Dantec et Principal avant de rejoindre la place de l’indépendance pour ensuite déboucher sur le marché Sandaga. Chacun des clients qui montent paye son ticket dont les prix varient en fonction des lignes. Mais sur la ligne numéro 7 il ne varie pas car pour tous les arrêts qui se situent de plateau à Ouakam on paye 150f.
Au fur et à mesure que les gens montent les places assises sont toutes occupées, les derniers venus sont obligés de se tenir debout et on est obligé de se serrer les uns sur les autres.
Une chaleur extrême se faisait sentir dans cet environnement et les clients suaient dans cette espace restreinte. Condition propice pour soulever de la voix, un jeune homme d’expliquer «ils nous parquent comme des moutons dans ces voitures mais ils doivent comprendre même si cela s’avère difficile qu’il faut contrôler le nombre avant que des catastrophes ne surviennent dans la ville».
Le véhicule poursuit son chemin et ceux qui veulent descendre en font la demande à travers un bouton qu’il faut appuyer ou s’adresser directement au receveur. Tellement le bus était plein, descendre, chose même difficile. Certains vont jusqu’à demander au receveur et au conducteur de ne plus prendre de clients.
Derrière ce bus venaient d’autres voitures qui sont aussi remplies. Un mini bus marque tata sur lequel est marqué «29 cambéréne» était tellement plein que les portes ne pouvaient pas être fermées. Une situation jugée «très déplorable» par Aminata Sané qui a affirmé « si j’entre dans ces voitures j’ai peur de m’étouffer tellement il y a de personnes». Avant d’ajouter que «les conditions dans le transport urbain est un véritable casse tête à Dakar».Les «cars rapides» et les «ndiaga Ndiaye» ne font pas exception à ce problème. Les autorités qui depuis des années ont promis de changer la donne restent impuissantes face à ce problème.
Le bus se met en route c’est pour passer devant l’institut Pasteur, devant les hôpitaux Le Dantec et Principal avant de rejoindre la place de l’indépendance pour ensuite déboucher sur le marché Sandaga. Chacun des clients qui montent paye son ticket dont les prix varient en fonction des lignes. Mais sur la ligne numéro 7 il ne varie pas car pour tous les arrêts qui se situent de plateau à Ouakam on paye 150f.
Au fur et à mesure que les gens montent les places assises sont toutes occupées, les derniers venus sont obligés de se tenir debout et on est obligé de se serrer les uns sur les autres.
Une chaleur extrême se faisait sentir dans cet environnement et les clients suaient dans cette espace restreinte. Condition propice pour soulever de la voix, un jeune homme d’expliquer «ils nous parquent comme des moutons dans ces voitures mais ils doivent comprendre même si cela s’avère difficile qu’il faut contrôler le nombre avant que des catastrophes ne surviennent dans la ville».
Le véhicule poursuit son chemin et ceux qui veulent descendre en font la demande à travers un bouton qu’il faut appuyer ou s’adresser directement au receveur. Tellement le bus était plein, descendre, chose même difficile. Certains vont jusqu’à demander au receveur et au conducteur de ne plus prendre de clients.
Derrière ce bus venaient d’autres voitures qui sont aussi remplies. Un mini bus marque tata sur lequel est marqué «29 cambéréne» était tellement plein que les portes ne pouvaient pas être fermées. Une situation jugée «très déplorable» par Aminata Sané qui a affirmé « si j’entre dans ces voitures j’ai peur de m’étouffer tellement il y a de personnes». Avant d’ajouter que «les conditions dans le transport urbain est un véritable casse tête à Dakar».Les «cars rapides» et les «ndiaga Ndiaye» ne font pas exception à ce problème. Les autorités qui depuis des années ont promis de changer la donne restent impuissantes face à ce problème.
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