L’atelier de lancement de l'évaluation de l'impact de l'assurance agricole indicielle du niveau de vie des agriculteurs tenu, ce lundi à Dakar, a été un moment pour les principaux acteurs présents, d’échanger autour d’une question fondamentale et stratégique pour l’agriculture sénégalaise qu’est « l’assurance indicielle ».
Même si l’assurance indicielle suscite un espoir, l’équipe de l’UGB a rappelé dans son contexte qu’au Sénégal, les questions de changement climatique se posent avec une grande acuité. Ahmadou Ly, membre de l’équipe de l’UGB, soutient « qu’aujourd’hui, il y a une augmentation de la vulnérabilité annuellement sur les précipitations. Mais aussi tous ces éléments-là, contribuent à accroître la vulnérabilité chez les producteurs. Et l’assurance a été présentée comme un outil qui peut prendre en charge cette question de vulnérabilité, spécifiquement pour les questions déficit pluviométrique ».
Le Directeur de l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (l’IPAR) a pour sa part soutenu que cet objectif, pour être atteint, nécessitera par ailleurs la collaboration et l’implication active de tous les acteurs et forces vives. « L’agriculture continue de représenter 70 % de la population active et jouer un rôle essentiel dans la croissance et le développement de notre pays. Mais c’est aussi 70 % qui font aussi face à des défis et incertitudes auxquels ils sont malheureusement très exposés », dit-il.
Selon le Directeur exécutif de l’IPAR, « depuis plusieurs décennies, nous faisons face aux conséquences multiples et multiformes des changements climatiques qui se traduisent entre autres par une variabilité climatique, un raccourcissement des saisons pluviométriques qui influencent négativement les activités agricoles, pastorales, halieutiques et forestières ».
Il ajoute : « Depuis quelques années, de l’espoir est en train de renaître avec l’introduction de l’assurance agricole basée sur les indices météorologiques, plus connue sous le nom d’assurance indicielle. Cet espoir est certainement dû à ses succès obtenus dans de nombreux pays dans la gestion des risques liés aux déficits pluviométriques ».
Pour lui, ce projet porté par des chercheurs de l’Université Gaston Berger en collaboration avec IPAR son réel impact nécessite d’être mis en lumière pour lui accorder plus de crédit dans son extension. « Depuis 2012, date de son introduction au Sénégal, elle est en train de se développer et de s’étendre dans le pays afin d’atténuer les effets négatifs des chocs pluviométriques sur l’agriculture »,
Même si l’assurance indicielle suscite un espoir, l’équipe de l’UGB a rappelé dans son contexte qu’au Sénégal, les questions de changement climatique se posent avec une grande acuité. Ahmadou Ly, membre de l’équipe de l’UGB, soutient « qu’aujourd’hui, il y a une augmentation de la vulnérabilité annuellement sur les précipitations. Mais aussi tous ces éléments-là, contribuent à accroître la vulnérabilité chez les producteurs. Et l’assurance a été présentée comme un outil qui peut prendre en charge cette question de vulnérabilité, spécifiquement pour les questions déficit pluviométrique ».
Le Directeur de l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (l’IPAR) a pour sa part soutenu que cet objectif, pour être atteint, nécessitera par ailleurs la collaboration et l’implication active de tous les acteurs et forces vives. « L’agriculture continue de représenter 70 % de la population active et jouer un rôle essentiel dans la croissance et le développement de notre pays. Mais c’est aussi 70 % qui font aussi face à des défis et incertitudes auxquels ils sont malheureusement très exposés », dit-il.
Selon le Directeur exécutif de l’IPAR, « depuis plusieurs décennies, nous faisons face aux conséquences multiples et multiformes des changements climatiques qui se traduisent entre autres par une variabilité climatique, un raccourcissement des saisons pluviométriques qui influencent négativement les activités agricoles, pastorales, halieutiques et forestières ».
Il ajoute : « Depuis quelques années, de l’espoir est en train de renaître avec l’introduction de l’assurance agricole basée sur les indices météorologiques, plus connue sous le nom d’assurance indicielle. Cet espoir est certainement dû à ses succès obtenus dans de nombreux pays dans la gestion des risques liés aux déficits pluviométriques ».
Pour lui, ce projet porté par des chercheurs de l’Université Gaston Berger en collaboration avec IPAR son réel impact nécessite d’être mis en lumière pour lui accorder plus de crédit dans son extension. « Depuis 2012, date de son introduction au Sénégal, elle est en train de se développer et de s’étendre dans le pays afin d’atténuer les effets négatifs des chocs pluviométriques sur l’agriculture »,
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