A peine Laurent Blanc était parti de son poste de sélectionneur national après un Euro pas si mauvaise que cela, que Didier Deschamps prenait sa place. Le hasard faisait qu’au moment où Blanc quittait ses fonctions, Deschamps en faisait de même à l’OM, et évidemment certains ont laissé entendre que l’ancien coach phocéen n’était pas pour rien dans cette manoeuvre et que Laurent Blanc avait du mal à le digérer. Dans un long entretien dans l’Equipe, Didier Deschamps balaie d’un revers de la main ces supputations.
« Avec Laurent, oui, on s’en est expliqué, on s’est parlé. C’est plus le timing, et notamment que je me libère tardivement qui a fait que. Mais moi, je pensais vraiment qu’il allait continuer. Les deux actualités se sont entremêlées. C’est tout (...) Après, ce n’est jamais agréable que l’un prenne la suite de l’autre. Je ne veux simplement pas qu’il y ait une ambiguïté sur le fait que je me sois libéré de Marseille au moment de son départ. Moi, je pensais me libérer dès la fin mai. Je n’avais rien programmé (...) Et j’avais besoin de lui parler. Après, on ne partira peut-être pas en vacances ensemble. Mais par rapport à ce que l’on a vécu… Bon, voilà, on est sur de l’humain, on compare les époques, on demande aux joueurs de comparer, c’est chiant, oui, c’est chiant. Mais la chose la plus importante, c’est que je peux me regarder dans la glace. Les circonstances peuvent être troublantes. Mais je n’ai rien calculé. Rien du tout », a confié, dans les colonnes du quotidien sportif, le sélectionneur national, histoire de mettre un terme aux rumeurs qui ont circulé.
« Avec Laurent, oui, on s’en est expliqué, on s’est parlé. C’est plus le timing, et notamment que je me libère tardivement qui a fait que. Mais moi, je pensais vraiment qu’il allait continuer. Les deux actualités se sont entremêlées. C’est tout (...) Après, ce n’est jamais agréable que l’un prenne la suite de l’autre. Je ne veux simplement pas qu’il y ait une ambiguïté sur le fait que je me sois libéré de Marseille au moment de son départ. Moi, je pensais me libérer dès la fin mai. Je n’avais rien programmé (...) Et j’avais besoin de lui parler. Après, on ne partira peut-être pas en vacances ensemble. Mais par rapport à ce que l’on a vécu… Bon, voilà, on est sur de l’humain, on compare les époques, on demande aux joueurs de comparer, c’est chiant, oui, c’est chiant. Mais la chose la plus importante, c’est que je peux me regarder dans la glace. Les circonstances peuvent être troublantes. Mais je n’ai rien calculé. Rien du tout », a confié, dans les colonnes du quotidien sportif, le sélectionneur national, histoire de mettre un terme aux rumeurs qui ont circulé.
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