10h15 : Le gouvernement gabonais est actuellement en réunion de crise suite aux évènements de ce matin à Libreville.
09h50 : « C’était quand même l’étonnement ce matin. C’est ce qui nous a réveillés. Nous ne sommes pas un pays où les militaires doivent prendre les devants pour faire de telles annonces », estime Gabriel un habitant de la capitale gabonaise.
09h30 : La situation est sous contrôle selon les autorités
09h10 : L’électricité commence à revenir à Libreville.
09h00 : Le porte-parole du gouvernement annonce que quatre des mutins ont été arrêtés et un est en fuite. Il dit que c’est un groupe de plaisantins et que la hiérarchie militaire ne les reconnaît pas.
08h55 : « Je suis vers l’aéroport. Il n’y a pas beaucoup de monde dehors. Tous les magasins sur les grands axes sont fermés. La majorité des gens sont restés chez eux. Même à l’aéroport, les passagers n’y vont pas », témoigne Alain un habitant de Libreville.
08h45 : Selon le ministre de la Communication Guy-Bertrand Mapangou, porte-parole du gouvernement, les mutins ont été arrêtés par les unités du GIGN gabonais. La situation est sous contrôle et l'ordre sera complètement rétabli dans deux ou trois heures, affirme-t-il.
08h45 : Selon le ministre de la Communication Guy-Bertrand Mapangou, porte-parole du gouvernement, les mutins ont été arrêtés par les unités du GIGN gabonais. La situation est sous contrôle et l'ordre sera complètement rétabli dans deux ou trois heures, affirme-t-il.
08h40 : Selon l'ambassadeur du Gabon à Paris, joint par RFI, l'assaut a été donné à la maison de la radio et les mutins arrêtés.
08h35 : Un proche de la présidence indique que les premiers éléments de l'armée sont entrés dans la radio, mais auraient constaté que mutins étaient enfermés dans une pièce. Ils souhaiteraient ouvrir des négociations pour éviter l'usage de la force. On dément catégoriquement, toujours de source proche de la présidence, les rumeurs qui courent dans Libreville sur le supposé ralliement de certaines unités de l'armée à ces mutins.
08h32 : Les tirs ont cessé autour de la maison de la radio.
08h30 : Sur les images du message diffusé par les putschistes, on peut voir trois militaires. Celui qui parle est assis et derrière lui, deux hommes en uniforme, debout, l’air martial, portant mitraillette. L’officier qui parle se présente comme étant le lieutenant Kelly Ondo Obiang, commandant adjoint de la garde républicaine.
08h20 : Le communiqué des putschistes est diffusé en boucle sur le signal de la radio nationale.
08h10 : Toujours selon une source proche de la présidence, les éléments qui ont pris le contrôle de la radio sont des éléments de la Garde d'honneur, qui n'ont pas le contrôle des armes de la garde républicaine. Cette même source précise que ces éléments sont encerclés dans la maison de la radio.
08h00 : Internet et les réseaux sociaux sont coupés et plusieurs quartiers de Libreville n’ont plus d’électricité.
07h47 : Au Gabon, une source proche de la présidence affirme que tous les points stratégiques sont sous contrôle ainsi que les abords de la radio. Toujours selon cette source, les militaires ne veulent pas utiliser la force contre ceux qui ont pris le contrôle de la radio ce lundi matin.
06h30 : La radio nationale a dans un premier temps était coupé avant d’être finalement rétablie.
06h00 : Des coups de feu ont été entendus autour de la Radio Télévision gabonaise, sur le boulevard triomphal, dans le centre-ville. Des blindés bloquent l'accès à ce boulevard.
05h30 : Des militaires ont pris la parole sur les ondes de la radio nationale. Ils se présentent comme le « Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité ». Point de départ de leur intervention : ils affirment que le message à la nation d'Ali Bongo délivré à l'occasion de la nouvelle année « a renforcé le doute sur sa capacité à assurer la fonction de président de la République ». « Une fois encore, disent-ils, une fois de trop, les conservateurs acharnés du pouvoir, dans leur funeste besogne continuent d'instrumentaliser et de chosifier la personne d'Ali Bongo Ondimba sous le regard complice de la haute hiérarchie militaire ». Les militaires putschistes annoncent que dans quelques heures ils mettront en place un conseil national de la restauration après consultation des forces vives de la nation, afin, indiquent-ils d'assurer la continuité de l'Etat et garantir au peuple gabonais une transition démocratique. Ils invitent plusieurs personnalités à venir à l'Assemblée nationale.
09h50 : « C’était quand même l’étonnement ce matin. C’est ce qui nous a réveillés. Nous ne sommes pas un pays où les militaires doivent prendre les devants pour faire de telles annonces », estime Gabriel un habitant de la capitale gabonaise.
09h30 : La situation est sous contrôle selon les autorités
09h10 : L’électricité commence à revenir à Libreville.
09h00 : Le porte-parole du gouvernement annonce que quatre des mutins ont été arrêtés et un est en fuite. Il dit que c’est un groupe de plaisantins et que la hiérarchie militaire ne les reconnaît pas.
08h55 : « Je suis vers l’aéroport. Il n’y a pas beaucoup de monde dehors. Tous les magasins sur les grands axes sont fermés. La majorité des gens sont restés chez eux. Même à l’aéroport, les passagers n’y vont pas », témoigne Alain un habitant de Libreville.
08h45 : Selon le ministre de la Communication Guy-Bertrand Mapangou, porte-parole du gouvernement, les mutins ont été arrêtés par les unités du GIGN gabonais. La situation est sous contrôle et l'ordre sera complètement rétabli dans deux ou trois heures, affirme-t-il.
08h45 : Selon le ministre de la Communication Guy-Bertrand Mapangou, porte-parole du gouvernement, les mutins ont été arrêtés par les unités du GIGN gabonais. La situation est sous contrôle et l'ordre sera complètement rétabli dans deux ou trois heures, affirme-t-il.
08h40 : Selon l'ambassadeur du Gabon à Paris, joint par RFI, l'assaut a été donné à la maison de la radio et les mutins arrêtés.
08h35 : Un proche de la présidence indique que les premiers éléments de l'armée sont entrés dans la radio, mais auraient constaté que mutins étaient enfermés dans une pièce. Ils souhaiteraient ouvrir des négociations pour éviter l'usage de la force. On dément catégoriquement, toujours de source proche de la présidence, les rumeurs qui courent dans Libreville sur le supposé ralliement de certaines unités de l'armée à ces mutins.
08h32 : Les tirs ont cessé autour de la maison de la radio.
08h30 : Sur les images du message diffusé par les putschistes, on peut voir trois militaires. Celui qui parle est assis et derrière lui, deux hommes en uniforme, debout, l’air martial, portant mitraillette. L’officier qui parle se présente comme étant le lieutenant Kelly Ondo Obiang, commandant adjoint de la garde républicaine.
08h20 : Le communiqué des putschistes est diffusé en boucle sur le signal de la radio nationale.
08h10 : Toujours selon une source proche de la présidence, les éléments qui ont pris le contrôle de la radio sont des éléments de la Garde d'honneur, qui n'ont pas le contrôle des armes de la garde républicaine. Cette même source précise que ces éléments sont encerclés dans la maison de la radio.
08h00 : Internet et les réseaux sociaux sont coupés et plusieurs quartiers de Libreville n’ont plus d’électricité.
07h47 : Au Gabon, une source proche de la présidence affirme que tous les points stratégiques sont sous contrôle ainsi que les abords de la radio. Toujours selon cette source, les militaires ne veulent pas utiliser la force contre ceux qui ont pris le contrôle de la radio ce lundi matin.
06h30 : La radio nationale a dans un premier temps était coupé avant d’être finalement rétablie.
06h00 : Des coups de feu ont été entendus autour de la Radio Télévision gabonaise, sur le boulevard triomphal, dans le centre-ville. Des blindés bloquent l'accès à ce boulevard.
05h30 : Des militaires ont pris la parole sur les ondes de la radio nationale. Ils se présentent comme le « Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité ». Point de départ de leur intervention : ils affirment que le message à la nation d'Ali Bongo délivré à l'occasion de la nouvelle année « a renforcé le doute sur sa capacité à assurer la fonction de président de la République ». « Une fois encore, disent-ils, une fois de trop, les conservateurs acharnés du pouvoir, dans leur funeste besogne continuent d'instrumentaliser et de chosifier la personne d'Ali Bongo Ondimba sous le regard complice de la haute hiérarchie militaire ». Les militaires putschistes annoncent que dans quelques heures ils mettront en place un conseil national de la restauration après consultation des forces vives de la nation, afin, indiquent-ils d'assurer la continuité de l'Etat et garantir au peuple gabonais une transition démocratique. Ils invitent plusieurs personnalités à venir à l'Assemblée nationale.
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