Les prix à la consommation ont enregistré un repli de 1,0% en variation trimestrielle, imputable principalement à l’évolution de ceux des « produits alimentaires et boissons non alcoolisées » (-2,7%), des services de « communications » (-1,6%) et des « loisirs et culture » (-1,6%).
C’est, du moins, une information livrée dans la Note d’analyse harmonisée des prix de consommation du deuxième trimestre 2010.
Toutefois, peut-on lire dans cette Note, les prix des services de « transports » et des « restaurants et hôtels » ont progressé respectivement de 1,2% et 0,6% au cours de la période sous revue. Comparés à la même période de l’année précédente, les prix à la consommation sont demeurés stables.
A en croire les économistes, le redressement de l’activité économique et la baisse des prix de certains produits de base sur le marché des matières premières ont eu des répercutions sur les prix intérieurs au cours du deuxième trimestre de 2010.
Parce que dans ce contexte, l’inflation s’est repliée dans la plupart des économies avancées, du fait essentiellement de la baisse des cours des matières premières et des incertitudes qui entourent les perspectives économiques mondiales.
A noter qu’au terme du premier semestre de 2010, le redémarrage de l’activité économique mondiale s’est consolidé au vu des récentes prévisions de croissance du Fonds Monétaire International (FMI).
Selon la Note, ce dernier a révisé à la hausse le taux de croissance du Produit Intérieur Mondial (PIM) en 2010, de 4,2% à 4,6%, après une baisse de 0,6% en 2009. Cette tendance haussière est imputable aux pays émergents et en développement. Les pays avancés, moteurs traditionnels de la reprise de l’activité économique, étant affaiblis par une intensification du chômage et la persistance des difficultés dans le secteur bancaire.
C’est, du moins, une information livrée dans la Note d’analyse harmonisée des prix de consommation du deuxième trimestre 2010.
Toutefois, peut-on lire dans cette Note, les prix des services de « transports » et des « restaurants et hôtels » ont progressé respectivement de 1,2% et 0,6% au cours de la période sous revue. Comparés à la même période de l’année précédente, les prix à la consommation sont demeurés stables.
A en croire les économistes, le redressement de l’activité économique et la baisse des prix de certains produits de base sur le marché des matières premières ont eu des répercutions sur les prix intérieurs au cours du deuxième trimestre de 2010.
Parce que dans ce contexte, l’inflation s’est repliée dans la plupart des économies avancées, du fait essentiellement de la baisse des cours des matières premières et des incertitudes qui entourent les perspectives économiques mondiales.
A noter qu’au terme du premier semestre de 2010, le redémarrage de l’activité économique mondiale s’est consolidé au vu des récentes prévisions de croissance du Fonds Monétaire International (FMI).
Selon la Note, ce dernier a révisé à la hausse le taux de croissance du Produit Intérieur Mondial (PIM) en 2010, de 4,2% à 4,6%, après une baisse de 0,6% en 2009. Cette tendance haussière est imputable aux pays émergents et en développement. Les pays avancés, moteurs traditionnels de la reprise de l’activité économique, étant affaiblis par une intensification du chômage et la persistance des difficultés dans le secteur bancaire.
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