Prévues le 09 février 2011, les élections générales de représentativité syndicale soulèvent des débats et suscitent encore beaucoup de passions au niveau du paysage syndical. A en croire, M Sock, " la ministre d’Etat déclare avoir enregistré 21000 nouveaux électeurs inscrits en dehors des commissions ad hoc qui sont les seuls organes compétents en matière d’inscription". Mieux, il ajoute que "ces nouveaux inscrits n’ont pas été effectué conformément à la règle édictée, leurs inscriptions n’ont pas été validées par les commissions ad hoc ni affichées sur les lieux de travail ".
Parallèlement, il souligne également que « l’élaboration de la carte électorale qui n’est pas faite selon les règles et principes établis sur lesquels nous pensons qu’il faut nécessairement augmenter le nombre de bureaux de vote devant être accessibles à tous les travailleurs ». Pour étayer ses propos, il nous donne des exemples tirés du fichier. A titre d’exemple, « à la page 718 et suivant il y a 279 électeurs inscrits dont certains sont actuellement engagés en Gambie sans citer le nom de l’entreprise qui les emploie ». Pour l’Unsas, voila autant de raisons et faits qui fondent nos jugements sur la non fiabilité du fichier électoral pour lequel nous exigeons sa réouverture, son toilettage et sa mise à jour. Par M Sock qui considère que le fichier ne permet pas aux travailleurs d’aller vers des élections transparentes mais plutôt vers une mascarade électorale.
Dans ce sillage, le Président de la République va recevoir les secrétaires généraux des centrales syndicales ce jeudi à partir de 18h. Ce sera l’occasion pour eux de dénoncer les erreurs notées dans le fichier. Pis M Sock tonne « qu’il est hors de question qu’on tienne les élections le 9 février parce que toutes les conditions ne sont pas réunies ».
Face à cette situation la coordination des centrales syndicales décide d’organiser une marche ce vendredi à partir de 15h à la place de l’obélisque.
Parallèlement, il souligne également que « l’élaboration de la carte électorale qui n’est pas faite selon les règles et principes établis sur lesquels nous pensons qu’il faut nécessairement augmenter le nombre de bureaux de vote devant être accessibles à tous les travailleurs ». Pour étayer ses propos, il nous donne des exemples tirés du fichier. A titre d’exemple, « à la page 718 et suivant il y a 279 électeurs inscrits dont certains sont actuellement engagés en Gambie sans citer le nom de l’entreprise qui les emploie ». Pour l’Unsas, voila autant de raisons et faits qui fondent nos jugements sur la non fiabilité du fichier électoral pour lequel nous exigeons sa réouverture, son toilettage et sa mise à jour. Par M Sock qui considère que le fichier ne permet pas aux travailleurs d’aller vers des élections transparentes mais plutôt vers une mascarade électorale.
Dans ce sillage, le Président de la République va recevoir les secrétaires généraux des centrales syndicales ce jeudi à partir de 18h. Ce sera l’occasion pour eux de dénoncer les erreurs notées dans le fichier. Pis M Sock tonne « qu’il est hors de question qu’on tienne les élections le 9 février parce que toutes les conditions ne sont pas réunies ».
Face à cette situation la coordination des centrales syndicales décide d’organiser une marche ce vendredi à partir de 15h à la place de l’obélisque.
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