La Côte d'Ivoire a remporté ce dimanche la troisième CAN de son histoire en renversant le Nigeria (2-1), grâce à un but spectaculaire de Sébastien Haller. Très heureux après la rencontre, le sélectionneur Emerse Faé, qui a pris la suite de Jean-Louis Gasset, n'en revenait pas.
Emerse Faé (sélectionneur de la Côte d'Ivoire, après la victoire en finale de la CAN contre le Nigeria 2-1 dimanche) : « C'est plus qu'un conte de fées, c'est plus qu'un conte de fées. Franchement, j'ai du mal à réaliser encore qu'on l'a fait. Quand je repense à tout ce qu'on a vécu, tout ce qu'on a traversé pendant la compétition, les moments difficiles, les moments où on a été menés, où on est revenus à la dernière minute. C'est extraordinaire. C'est une chance énorme. On est des miraculés.
On est allés chercher la coupe parce qu'on n'a rien lâché, parce qu'on s'est battus jusqu'au bout et on a montré qu'on était des hommes et qu'on savait rebondir malgré les coups durs. Je n'arrive même pas à mesurer ma joie. Franchement, c'est énorme, ce qui m'arrive. Je rêvais de gagner la CAN en tant que joueur, je ne l'ai pas fait, je n'ai pas su le faire. Là, j'ai eu une opportunité de le faire en tant qu'entraîneur.
Malgré le fait que c'est arrivé dans des circonstances particulières, bizarres, parce que le jour de mon anniversaire, je dois encaisser le départ de Jean-Louis Gasset, que je félicite aussi parce que c'est aussi sa victoire, et prendre l'équipe alors qu'on n'est pas sûrs d'être qualifiés encore. Donc ça a été un anniversaire particulier. Mais voilà, par la grâce de Dieu, on a eu une deuxième chance. On l'a saisie à fond. On a joué notre coup à fond. On n'a rien lâché pour aller chercher la coupe.
Emerse Faé (sélectionneur de la Côte d'Ivoire, après la victoire en finale de la CAN contre le Nigeria 2-1 dimanche) : « C'est plus qu'un conte de fées, c'est plus qu'un conte de fées. Franchement, j'ai du mal à réaliser encore qu'on l'a fait. Quand je repense à tout ce qu'on a vécu, tout ce qu'on a traversé pendant la compétition, les moments difficiles, les moments où on a été menés, où on est revenus à la dernière minute. C'est extraordinaire. C'est une chance énorme. On est des miraculés.
On est allés chercher la coupe parce qu'on n'a rien lâché, parce qu'on s'est battus jusqu'au bout et on a montré qu'on était des hommes et qu'on savait rebondir malgré les coups durs. Je n'arrive même pas à mesurer ma joie. Franchement, c'est énorme, ce qui m'arrive. Je rêvais de gagner la CAN en tant que joueur, je ne l'ai pas fait, je n'ai pas su le faire. Là, j'ai eu une opportunité de le faire en tant qu'entraîneur.
Malgré le fait que c'est arrivé dans des circonstances particulières, bizarres, parce que le jour de mon anniversaire, je dois encaisser le départ de Jean-Louis Gasset, que je félicite aussi parce que c'est aussi sa victoire, et prendre l'équipe alors qu'on n'est pas sûrs d'être qualifiés encore. Donc ça a été un anniversaire particulier. Mais voilà, par la grâce de Dieu, on a eu une deuxième chance. On l'a saisie à fond. On a joué notre coup à fond. On n'a rien lâché pour aller chercher la coupe.
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