Depuis plusieurs mois, près de 5 000 étudiants ivoiriens réclament la validation de leur inscription de l’année universitaire passée. Un dossier qui est monté jusqu’au Conseil des ministres et qui crée des tensions entre le ministère de l’Enseignement supérieur et l’université Félix-Houphouët-Boigny.
Pour Albert Toikeusse Mabri, le ministre de l’Enseignement supérieur, il n’y a pas d’ambiguïtés : les étudiants non inscrits l’année dernière et qui ont tout de même suivi le cursus et réussi leurs examens, peuvent passer en année supérieure. « En ce moment, ça bloque au niveau de l’université, mais la décision que j’ai prise est conforme avec l’orientation voulue par le président de la République. C’est à l’université de se soumettre aux décisions du ministère », affirme-t-il.
À l’origine, près de 5 000 étudiants n’ont pas pu s’inscrire à l’été 2018, notamment pour des raisons administratives ou financières. Pour Martin Zeba, le porte-parole du collectif des étudiants non inscrits, cette décision, validée par note ministérielle, va dans le bon sens. Mais il ne comprend pas pourquoi elle n’est pas appliquée.
« Cette décision a été donnée depuis le 29 septembre. Les étudiants se demandent si cette décision va être appliquée. Nous ne savons pas aujourd’hui pourquoi l’administration de l’université n’arrive pas à appliquer la décision prise en Conseil des ministres. Aujourd’hui, nous sommes là et nous attendons toujours. »
Du côté de l’université Félix-Houphouët-Boigny, on dit ne pas être au courant de cette décision et on se refuse à tout autre commentaire. Mais certains évoquent des tensions entre le ministère et l’institution. Le ministre a diligenté une commission d’évaluation censée rendre un rapport dans la semaine, afin de comprendre pourquoi ce dossier resté bloqué. Et pour permettre à ces étudiants de retrouver le chemin de l’université.
Pour Albert Toikeusse Mabri, le ministre de l’Enseignement supérieur, il n’y a pas d’ambiguïtés : les étudiants non inscrits l’année dernière et qui ont tout de même suivi le cursus et réussi leurs examens, peuvent passer en année supérieure. « En ce moment, ça bloque au niveau de l’université, mais la décision que j’ai prise est conforme avec l’orientation voulue par le président de la République. C’est à l’université de se soumettre aux décisions du ministère », affirme-t-il.
À l’origine, près de 5 000 étudiants n’ont pas pu s’inscrire à l’été 2018, notamment pour des raisons administratives ou financières. Pour Martin Zeba, le porte-parole du collectif des étudiants non inscrits, cette décision, validée par note ministérielle, va dans le bon sens. Mais il ne comprend pas pourquoi elle n’est pas appliquée.
« Cette décision a été donnée depuis le 29 septembre. Les étudiants se demandent si cette décision va être appliquée. Nous ne savons pas aujourd’hui pourquoi l’administration de l’université n’arrive pas à appliquer la décision prise en Conseil des ministres. Aujourd’hui, nous sommes là et nous attendons toujours. »
Du côté de l’université Félix-Houphouët-Boigny, on dit ne pas être au courant de cette décision et on se refuse à tout autre commentaire. Mais certains évoquent des tensions entre le ministère et l’institution. Le ministre a diligenté une commission d’évaluation censée rendre un rapport dans la semaine, afin de comprendre pourquoi ce dossier resté bloqué. Et pour permettre à ces étudiants de retrouver le chemin de l’université.
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