Selon le ministère de l'Intérieur, 161 000 personnes ont manifesté en France ce samedi contre le passe sanitaire. Ils étaient plus de 110 000 samedi dernier. À Paris, la manifestation a été émaillée de quelques incidents.
Ils étaient environ 5 000 à Montpellier, 6 000 à Nice et 4 000 à Strasbourg. Un peu partout en France, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues ce samedi, au cri de « liberté, liberté » ou appelant Emmanuel Macron à la « démission », pour protester contre le passe sanitaire et l'obligation vaccinale. Le ministère de l'Intérieur a recensé 168 actions en province, qui ont mobilisé près de 150 000 personnes.
Gilets jaunes, mais aussi soignants ou étudiants constituaient une bonne partie des manifestants, dans des cortèges où l'on a vu de nombreux drapeaux tricolores, et qui ont la plupart du temps défilé dans le calme. Nombre d'entre eux ont affirmé être vaccinés, mais opposés à l'obligation vaccinale.
Modifications du Sénat
À Paris, en revanche, le nombre de manifestants était en légère baisse selon la place Beauveau, qui les évalue à 11 000, contre 18 000 samedi dernier. Les manifestants se sont divisés en trois groupes distincts, dont l'un s'est rendu au Trocadéro, ou plusieurs milliers de personness ont répondu à l'appel de Florian Philippot.
L'ancien vice-président du Rassemblement national et président de son nouveau mouvement Les Patriotes, s'en est pris à l'« apartheid » que souhaite mettre en place l'exécutif selon lui. En fin de manifestation, peu après 18h, des affrontements ont eu lieu entre près de 200 manifestants et les forces de l'ordre aux abords des Champs-Élysées.
Ces manifestations avaient lieu alors que le texte, adopté par l'Assemblée nationale en première lecture vendredi 23 juillet, était en lecture au Sénat. La Chambre haute, dominée par la droite, a apporté plusieurs changements au projet ce samedi, en excluant les mineurs de l'obligation de présenter un passe sanitaire, et en le limitant aux seuls espaces intérieurs. Les terrasses en seront donc exemptées. Autre modification : une mise en application du passe sanitaire le 15 septembre, au lieu du 30 août comme il était initialement prévu.
Mais ces changements pourront à nouveau être annulés, supprimés ou atténués en commission mixte paritaire ou lors de l'évolution du texte pendant la navette parlementaire.
Ils étaient environ 5 000 à Montpellier, 6 000 à Nice et 4 000 à Strasbourg. Un peu partout en France, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues ce samedi, au cri de « liberté, liberté » ou appelant Emmanuel Macron à la « démission », pour protester contre le passe sanitaire et l'obligation vaccinale. Le ministère de l'Intérieur a recensé 168 actions en province, qui ont mobilisé près de 150 000 personnes.
Gilets jaunes, mais aussi soignants ou étudiants constituaient une bonne partie des manifestants, dans des cortèges où l'on a vu de nombreux drapeaux tricolores, et qui ont la plupart du temps défilé dans le calme. Nombre d'entre eux ont affirmé être vaccinés, mais opposés à l'obligation vaccinale.
Modifications du Sénat
À Paris, en revanche, le nombre de manifestants était en légère baisse selon la place Beauveau, qui les évalue à 11 000, contre 18 000 samedi dernier. Les manifestants se sont divisés en trois groupes distincts, dont l'un s'est rendu au Trocadéro, ou plusieurs milliers de personness ont répondu à l'appel de Florian Philippot.
L'ancien vice-président du Rassemblement national et président de son nouveau mouvement Les Patriotes, s'en est pris à l'« apartheid » que souhaite mettre en place l'exécutif selon lui. En fin de manifestation, peu après 18h, des affrontements ont eu lieu entre près de 200 manifestants et les forces de l'ordre aux abords des Champs-Élysées.
Ces manifestations avaient lieu alors que le texte, adopté par l'Assemblée nationale en première lecture vendredi 23 juillet, était en lecture au Sénat. La Chambre haute, dominée par la droite, a apporté plusieurs changements au projet ce samedi, en excluant les mineurs de l'obligation de présenter un passe sanitaire, et en le limitant aux seuls espaces intérieurs. Les terrasses en seront donc exemptées. Autre modification : une mise en application du passe sanitaire le 15 septembre, au lieu du 30 août comme il était initialement prévu.
Mais ces changements pourront à nouveau être annulés, supprimés ou atténués en commission mixte paritaire ou lors de l'évolution du texte pendant la navette parlementaire.
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