130 organisations, partis politiques, syndicats, associations appelant à manifester contre « la xénophobie » et « la politique du pilori » dans 140 villes à travers la France. Une telle mobilisation, c'est du jamais vu depuis l'expulsion des sans papiers de l'église Saint Bernard en 1996.
L'appel contre l'offensive sécuritaire du gouvernement lancé par la Ligue des droits de l'homme (LDH) et une vingtaine d'associations au-cœur de l'été, il y a tout juste un mois, a également réussi à envoyer toute la gauche dans la rue.
Même le Parti socialiste (PS) est sorti de sa réserve estivale pour rejoindre les Verts, le PC, le NPA ou le Parti de gauche. A Paris, notamment, aux côtés d'Eva Joly, Jean-Luc Mélenchon ou Olivier Besancenot défileront Bertrand Delanoë et Benoit Hamon.
« A partir du moment où l'on a montré qu'on était ferme sur la sécurité, plaide le conseiller de Martine Aubry, François Lamy, il n'y a aucune raison de s'interdire de défendre les libertés publiques ».
Et comme une manifestation peut en cacher une autre, impossible de ne pas faire le lien avec celle qui suit dans 3 jours contre la réforme des retraites.
D'ailleurs les politiques ne s'en privent pas. « Le 4 septembre est un tremplin pour les mobilisations du 7 », affirme le numéro un du Parti communiste Pierre Laurent.
Deux rendez-vous pour une rentrée « où l'on peut affaiblir le camp d'en face », assène Olivier Besancenot.
L'appel contre l'offensive sécuritaire du gouvernement lancé par la Ligue des droits de l'homme (LDH) et une vingtaine d'associations au-cœur de l'été, il y a tout juste un mois, a également réussi à envoyer toute la gauche dans la rue.
Même le Parti socialiste (PS) est sorti de sa réserve estivale pour rejoindre les Verts, le PC, le NPA ou le Parti de gauche. A Paris, notamment, aux côtés d'Eva Joly, Jean-Luc Mélenchon ou Olivier Besancenot défileront Bertrand Delanoë et Benoit Hamon.
« A partir du moment où l'on a montré qu'on était ferme sur la sécurité, plaide le conseiller de Martine Aubry, François Lamy, il n'y a aucune raison de s'interdire de défendre les libertés publiques ».
Et comme une manifestation peut en cacher une autre, impossible de ne pas faire le lien avec celle qui suit dans 3 jours contre la réforme des retraites.
D'ailleurs les politiques ne s'en privent pas. « Le 4 septembre est un tremplin pour les mobilisations du 7 », affirme le numéro un du Parti communiste Pierre Laurent.
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