L’évacuation des civils et des combattants de quatre localités syriennes assiégées, a débuté vendredi 14 avril, selon le témoignage d’un journaliste de l’Agence France-Presse (AFP). En tout, plus de 30 000 personnes sont concernées par cette opération en vertu d’un accord conclu en mars et parrainé par le Qatar, soutien des rebelles, et l’Iran, allié du régime de Bachar Al-Assad.
Présent à Al-Rashideen, une ville à l’est d’Alep tenue par l’opposition, un correspondant de l’AFP a rapporté l’arrivée de quatre-vingts bus en provenance de Foua et Kafraya, deux communes aux mains des forces gouvernementales dans la province d’Idlib (nord-ouest). Les évacuations concernent également Madaya et Zabadani, des enclaves rebelles assiégées par les forces du régime dans la province de Damas.
L’application de l’accord avait été retardée en raison d’objections des deux camps et des tensions résultant d’une attaque chimique présumée dans une ville rebelle de Khan Cheikhoun, dans la province d’Idleb, la semaine dernière. Depuis le début du conflit syrien en 2011, plusieurs opérations d’évacuation ont été organisées notamment pour des bastions insurgés asphyxiés par un long siège, le régime misant sur ce qu’il appelle des accords de « réconciliation locale » pour faire plier les rebelles.
Présent à Al-Rashideen, une ville à l’est d’Alep tenue par l’opposition, un correspondant de l’AFP a rapporté l’arrivée de quatre-vingts bus en provenance de Foua et Kafraya, deux communes aux mains des forces gouvernementales dans la province d’Idlib (nord-ouest). Les évacuations concernent également Madaya et Zabadani, des enclaves rebelles assiégées par les forces du régime dans la province de Damas.
L’application de l’accord avait été retardée en raison d’objections des deux camps et des tensions résultant d’une attaque chimique présumée dans une ville rebelle de Khan Cheikhoun, dans la province d’Idleb, la semaine dernière. Depuis le début du conflit syrien en 2011, plusieurs opérations d’évacuation ont été organisées notamment pour des bastions insurgés asphyxiés par un long siège, le régime misant sur ce qu’il appelle des accords de « réconciliation locale » pour faire plier les rebelles.
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