Victorieuse dans le Vermont mais battue dans tous les autres États par Donald Trump lors du « Super Tuesday », Nikki Haley n'ira pas plus loin dans la course à la primaire républicaine. Plusieurs médias américains, dont le Wall Street Journal (WSJ) et CNN, annoncent ce mercredi 6 mars que la candidate va mettre fin à sa campagne.
L'ancienne ambassadrice américaine aux Nations unies devrait, selon le WSJ, annoncer sa décision de se retirer ce même jour à 15h00 (TU) depuis Charleston, ville principale de l'État de Caroline du Sud dont elle a été gouverneure.
Celle qui s'était lancée dans la bataille de la présidentielle en début d'année dernière, avait remporté deux primaires républicaines : la première à Washington il y a deux jours, et la seconde donc hier dans le petit État du Vermont, où la primaire était ouverte, aussi peut-on imaginer que des électeurs démocrates ont voté pour l'ancienne ambassadrice américaine à l'ONU de l'administration Trump. Au total, elle aura représenté les 20% à 30% d'électeurs qui exprimaient des inquiétudes à l'égard de Donald Trump et, selon ses mots, du « chaos » d'un second mandat présidentiel du milliardaire...
Nikki Haley avait les moyens financiers de se maintenir jusqu'à la convention républicaine de juillet prochain. Mais la question pressante demeurait : à quoi bon ? Rester dans le jeu lui aurait permis d'être un recours, une solution de remplacement en cas de condamnation par la justice de Donald Trump.
L'ancienne ambassadrice américaine aux Nations unies devrait, selon le WSJ, annoncer sa décision de se retirer ce même jour à 15h00 (TU) depuis Charleston, ville principale de l'État de Caroline du Sud dont elle a été gouverneure.
Celle qui s'était lancée dans la bataille de la présidentielle en début d'année dernière, avait remporté deux primaires républicaines : la première à Washington il y a deux jours, et la seconde donc hier dans le petit État du Vermont, où la primaire était ouverte, aussi peut-on imaginer que des électeurs démocrates ont voté pour l'ancienne ambassadrice américaine à l'ONU de l'administration Trump. Au total, elle aura représenté les 20% à 30% d'électeurs qui exprimaient des inquiétudes à l'égard de Donald Trump et, selon ses mots, du « chaos » d'un second mandat présidentiel du milliardaire...
Nikki Haley avait les moyens financiers de se maintenir jusqu'à la convention républicaine de juillet prochain. Mais la question pressante demeurait : à quoi bon ? Rester dans le jeu lui aurait permis d'être un recours, une solution de remplacement en cas de condamnation par la justice de Donald Trump.
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