Au pays de l’oncle Sam, plus besoin de se rendre dans un centre de dépistage pour faire un test du SIDA. Depuis mardi, L'Agence Américaine des Médicaments (FDA) a autorisé la vente en libre service de tests de dépistages du VIH OraQuick In-Home HIV du laboratoire américain OraSure Technologies sans aucune supervision médicale.
Le principe est simple : l’utilisateur prélève un peu de salive sur ses gencives à l’aide du kit avant de le placer dans une solution. Le résultat s’affiche au bout de 20 à 40 minutes, soit un délai nettement plus court que dans les centres de dépistages sanguins.
L’objectif de ce test n’est pas de remplacer les centres de dépistage, mais de toucher une plus large part de la population, notamment les groupes à risques qui n’osent pas se faire dépister. En effet, le test OraQuick n’est fiable qu’à 92%. En pratique, cela signifie qu’un résultat positif au test du VIH ne signifie pas automatiquement que l’utilisateur est atteint du SIDA, mais indique que celui-ci devrait faire des tests médicaux pour obtenir une confirmation– ou infirmation – de son état. De même, un résultat négatif ne garantit qu’à 99% que le sujet n’est pas contaminé, en particulier s’il a eu un rapport à risque durant les trois mois précédents le test.
Au Sénégal entre un et trois pour cent de la population est infecté selon les régions, et les populations peinent encore à aller se faire dépister. Une telle innovation pourrait accélérer l’identification des individus porteurs du VIH, toutefois , il peut être précoce de parler de test du sida dans le pays, lorsque les médicaments antirétroviraux sont si difficile d’accès pour les malades à cause de leur coût.
Le principe est simple : l’utilisateur prélève un peu de salive sur ses gencives à l’aide du kit avant de le placer dans une solution. Le résultat s’affiche au bout de 20 à 40 minutes, soit un délai nettement plus court que dans les centres de dépistages sanguins.
L’objectif de ce test n’est pas de remplacer les centres de dépistage, mais de toucher une plus large part de la population, notamment les groupes à risques qui n’osent pas se faire dépister. En effet, le test OraQuick n’est fiable qu’à 92%. En pratique, cela signifie qu’un résultat positif au test du VIH ne signifie pas automatiquement que l’utilisateur est atteint du SIDA, mais indique que celui-ci devrait faire des tests médicaux pour obtenir une confirmation– ou infirmation – de son état. De même, un résultat négatif ne garantit qu’à 99% que le sujet n’est pas contaminé, en particulier s’il a eu un rapport à risque durant les trois mois précédents le test.
Au Sénégal entre un et trois pour cent de la population est infecté selon les régions, et les populations peinent encore à aller se faire dépister. Une telle innovation pourrait accélérer l’identification des individus porteurs du VIH, toutefois , il peut être précoce de parler de test du sida dans le pays, lorsque les médicaments antirétroviraux sont si difficile d’accès pour les malades à cause de leur coût.
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