Consciente des répercussions qui peuvent découler de leurs chantiers, dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui au secteur de l’électricité (Pase), la Senelec s'est engagée à sauvegarder l'environnement et tout l'écosystème qui l’entoure.
Dans ce projet (PASE) qui est presque à son terme (en fin mars), le reboisement compensatoire est une option pour sauvegarder l’environnement impacté par les chantiers. La compensation est un élément important pour combler les agressions que subit l’environnement. Un protocole est signé avec les Eaux et Forêts.
Plusieurs impactés ont reçu les aides de la Senelec pour leur permettre de reconstituer l’écosystème initial. Au cours de la mission de supervision de la Banque mondiale accompagnée des acteurs de la Senelec dans les régions de Ziguinchor, Sédhiou, Kolda, Tamba et Kédougou pour s'informer de l'état des réalisations du Projet d'appui au secteur de l'électricité, les membres de la délégation ont pu constater les impacts des activités de reboisement compensatoire sur la sauvegarde environnementales et sociales qui tiennent à cœur le projet.
« Dans le cadre du reboisement compensatoire, nous avons eu des résultats très satisfaisants. Nous avons déboisé beaucoup d'hectares dans les zones où le projet est passé. Je pense qu'avec les Eaux et Forêts, c'est 60 à 80 % de réussite », se réjouit Aby Sonko, responsable du suivi environnemental et social pour le projet PASE qui a dit sa satisfaction après ces trois années de mise en œuvre du projet, lors du passage au « carrefour Ndiaye Praya » (une pépinière privée entretenue grâce à la Senelec).
Cette intervention de la Senelec aussi, en termes de retombées économiques, favorise l'accroissement du revenu des populations. Ce protocole est donc la matérialisation d'un engagement entre la Senelec et les Eaux et Forêts qui se sont déployées dans toutes les zones où est passé le projet.
La mission de la Banque mondiale, à sa tête Chris Trimble a apprécié les efforts consentis par les parties contractantes. "Nous sommes très satisfaits de l'état d'exécution des travaux. C'était une excellente visite. On a fait le tour de Ziguinchor, jusqu'à Fongolimbi, un village frontalier avec la Guinée. On a effectué beaucoup de visites sur le terrain, entre Marsassou, Kolda, Vélingara, Médina Gounass, Tambacounda, Kédougou, Bandafassi, Salémata et Fongolimbi. Partout c'est la même histoire... même s'il y a toujours les mêmes doutes: la densification de réseau de la Senelec et faire de nouveaux raccordements pour concrétiser cette vision du Gouvernement du Sénégal pour l'accès universel à l'électricité d'ici 2025", s'est réjoui Monsieur Trimble.
Dans ce projet (PASE) qui est presque à son terme (en fin mars), le reboisement compensatoire est une option pour sauvegarder l’environnement impacté par les chantiers. La compensation est un élément important pour combler les agressions que subit l’environnement. Un protocole est signé avec les Eaux et Forêts.
Plusieurs impactés ont reçu les aides de la Senelec pour leur permettre de reconstituer l’écosystème initial. Au cours de la mission de supervision de la Banque mondiale accompagnée des acteurs de la Senelec dans les régions de Ziguinchor, Sédhiou, Kolda, Tamba et Kédougou pour s'informer de l'état des réalisations du Projet d'appui au secteur de l'électricité, les membres de la délégation ont pu constater les impacts des activités de reboisement compensatoire sur la sauvegarde environnementales et sociales qui tiennent à cœur le projet.
« Dans le cadre du reboisement compensatoire, nous avons eu des résultats très satisfaisants. Nous avons déboisé beaucoup d'hectares dans les zones où le projet est passé. Je pense qu'avec les Eaux et Forêts, c'est 60 à 80 % de réussite », se réjouit Aby Sonko, responsable du suivi environnemental et social pour le projet PASE qui a dit sa satisfaction après ces trois années de mise en œuvre du projet, lors du passage au « carrefour Ndiaye Praya » (une pépinière privée entretenue grâce à la Senelec).
Cette intervention de la Senelec aussi, en termes de retombées économiques, favorise l'accroissement du revenu des populations. Ce protocole est donc la matérialisation d'un engagement entre la Senelec et les Eaux et Forêts qui se sont déployées dans toutes les zones où est passé le projet.
La mission de la Banque mondiale, à sa tête Chris Trimble a apprécié les efforts consentis par les parties contractantes. "Nous sommes très satisfaits de l'état d'exécution des travaux. C'était une excellente visite. On a fait le tour de Ziguinchor, jusqu'à Fongolimbi, un village frontalier avec la Guinée. On a effectué beaucoup de visites sur le terrain, entre Marsassou, Kolda, Vélingara, Médina Gounass, Tambacounda, Kédougou, Bandafassi, Salémata et Fongolimbi. Partout c'est la même histoire... même s'il y a toujours les mêmes doutes: la densification de réseau de la Senelec et faire de nouveaux raccordements pour concrétiser cette vision du Gouvernement du Sénégal pour l'accès universel à l'électricité d'ici 2025", s'est réjoui Monsieur Trimble.
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