Le FC Barcelone ne partage pas. Huit jours après avoir surclassé le Real Madrid sur sa pelouse (3-1), les protégés de Pep Guardiola ont offert un nouveau récital à l'autre bout du monde. Sur la pelouse de l'International Stadium, à Yokohama, au Japon, où le Brésil avait triomphé en finale de la Coupe du monde 2002, le Santos n'a jamais été en mesure de rivaliser, rapidement dépassé dans tous les compartiments du jeu. Malgré la grave blessure de David Villa, le Barça a gardé les idées claires et des jambes de feu. Invisible, le trio magique de Santos, Neymar, Borges, Ganso, a disparu au fil des duels perdus. Associant spectacle et efficacité, les Catalans, brillants et tranchants, ont vite éteint le suspense. Mis sur orbite par Lionel Messi (17e), les Blaugrana ont survolé la huitième finale de la Coupe du monde des clubs. Xavi (24e), parfaitement servi par Daniel Alves, puis Cesc Fabregas (45e) ont offert trois buts d'avance aux Ibères, déjà assurés à la pause de s'offrir une nouvelle virée sur le toit du monde.
Malgré les parades de Cabral, gardien très sollicité, la finale était déjà pliée. Après la pause, les partenaires d'Eric Abidal se sont contentés de gérer et de contenir une équipe brésilienne sans mordant et sans solution. Impressionnants à tous les étages, les protégés de Guardiola ont même offert un quatrième but aux amateurs de jeu collectif et de gestes pures. Une nouvelle fois sollicité par l'intenable Daniel Alves, monstrueux dans son couloir droit, Messi, après un crochet lumineux de l'extérieur du pied gauche, inscrivait un doublé (82e, 4-0). La fête était totale et la joie des Espagnols, intégrale. Arrivé cet été en provenance d'Arsenal, Fabregas savourait son troisième triomphe avec sa nouvelle famille en moins de six mois (Supercoupe d'Espagne, Supercoupe d'Europe et Mondial des clubs). Capitaine comblé, Puyol, lui, pouvait présenter au monde le dernier de ses trophées. Son quatorzième avec le Barça.
Source : France football
Malgré les parades de Cabral, gardien très sollicité, la finale était déjà pliée. Après la pause, les partenaires d'Eric Abidal se sont contentés de gérer et de contenir une équipe brésilienne sans mordant et sans solution. Impressionnants à tous les étages, les protégés de Guardiola ont même offert un quatrième but aux amateurs de jeu collectif et de gestes pures. Une nouvelle fois sollicité par l'intenable Daniel Alves, monstrueux dans son couloir droit, Messi, après un crochet lumineux de l'extérieur du pied gauche, inscrivait un doublé (82e, 4-0). La fête était totale et la joie des Espagnols, intégrale. Arrivé cet été en provenance d'Arsenal, Fabregas savourait son troisième triomphe avec sa nouvelle famille en moins de six mois (Supercoupe d'Espagne, Supercoupe d'Europe et Mondial des clubs). Capitaine comblé, Puyol, lui, pouvait présenter au monde le dernier de ses trophées. Son quatorzième avec le Barça.
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