Après le Cameroun, premier représentant du continent tombé en chemin, voici donc l'Afrique du Sud et le Nigeria éliminés. Mais est-ce vraiment une surprise ? A l'inverse des deux anciens champions olympiques, incapables de remporter le moindre match, les Bafana Bafana ont eu le bonheur de dominer les Bleus (2-1) mardi à Bloemfontein, et auraient bien mérité de corser l'addition, sans les exploits de Lloris et la maladresse de ses attaquants. Le pays organisateur, pour la première fois de l'histoire, ne sera donc pas au second tour, écarté seulement à la différence de buts.
Comme nous l'avions évoqué avant le tournoi, l'Afsud n'était certainement pas la sélection continentale la plus faible du lot, et les Bleus l'ont appris amèrement à leurs dépens. Aujourd'hui, l'Afrique du Sud peut envisager son avenir dans les compétitions africaines avec un peu plus de sérénité. On ne serait pas étonné de retrouver Tshabalala, Khumalo, Pienaar et Mphela lors de la prochaine Coupe d'Afrique des nations, au Gabon et en Guinée Equatoriale, début 2012. Et même de les voir tenir un rôle important dans ce tournoi.
A l'Algérie et au Ghana de jouer
A quelques heures de voir le Ghana et l'Algérie jouer leur va-tout pour une qualification en huitièmes, le bilan continental apparaît pourtant des plus maigres. Les Black Stars, huitièmes de finaliste en 2006 et ultimes rescapés de l'Afrique il y a quatre ans, vont devoir démontrer leur maturité face à l'Allemagne, en quête d'un succès. Un nul suffit aujourd'hui à Dédé Ayew et sa bande. Sont-ils capables de le décrocher face à un si redoutable adversaire ? On n'en est pas très sûr, la Coupe du monde n'étant pas la CAN. Mais cette jeune formation, galvanisée par son parcours lors de la CAN en Angola, ne manque pas d'atouts.
Quant à l'Algérie, qui défie les Etats-Unis, elle est tout simplement condamnée à réaliser un authentique exploit à Pretoria. Le rouleau compresseur américain, qui a fait tant souffrir les Anglais et les Slovènes, paraît un cran au dessus du collectif algérien. Mais el-Khadra en a vu d'autres, depuis les éliminatoires. L'Egypte, elle aussi, paraissait supérieure, à un certain moment. Le mental des Algériens a pourtant fait la différence. Saâdane, on lui fait confiance, trouvera sans doute les mots justes pour rappeler à la jeune classe de 2010 que rien n'est impossible, à condition d'y croire. Et surtout de marquer. L'Algérie est en effet la seule équipe africaine à ne pas avoir encore inscrit le moindre but après deux matches... Attaquants, réveillez-vous !
Comme nous l'avions évoqué avant le tournoi, l'Afsud n'était certainement pas la sélection continentale la plus faible du lot, et les Bleus l'ont appris amèrement à leurs dépens. Aujourd'hui, l'Afrique du Sud peut envisager son avenir dans les compétitions africaines avec un peu plus de sérénité. On ne serait pas étonné de retrouver Tshabalala, Khumalo, Pienaar et Mphela lors de la prochaine Coupe d'Afrique des nations, au Gabon et en Guinée Equatoriale, début 2012. Et même de les voir tenir un rôle important dans ce tournoi.
A l'Algérie et au Ghana de jouer
A quelques heures de voir le Ghana et l'Algérie jouer leur va-tout pour une qualification en huitièmes, le bilan continental apparaît pourtant des plus maigres. Les Black Stars, huitièmes de finaliste en 2006 et ultimes rescapés de l'Afrique il y a quatre ans, vont devoir démontrer leur maturité face à l'Allemagne, en quête d'un succès. Un nul suffit aujourd'hui à Dédé Ayew et sa bande. Sont-ils capables de le décrocher face à un si redoutable adversaire ? On n'en est pas très sûr, la Coupe du monde n'étant pas la CAN. Mais cette jeune formation, galvanisée par son parcours lors de la CAN en Angola, ne manque pas d'atouts.
Quant à l'Algérie, qui défie les Etats-Unis, elle est tout simplement condamnée à réaliser un authentique exploit à Pretoria. Le rouleau compresseur américain, qui a fait tant souffrir les Anglais et les Slovènes, paraît un cran au dessus du collectif algérien. Mais el-Khadra en a vu d'autres, depuis les éliminatoires. L'Egypte, elle aussi, paraissait supérieure, à un certain moment. Le mental des Algériens a pourtant fait la différence. Saâdane, on lui fait confiance, trouvera sans doute les mots justes pour rappeler à la jeune classe de 2010 que rien n'est impossible, à condition d'y croire. Et surtout de marquer. L'Algérie est en effet la seule équipe africaine à ne pas avoir encore inscrit le moindre but après deux matches... Attaquants, réveillez-vous !
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