Pour la première Coupe du monde sur leur sol, les pays africains avaient de grandes ambitions légitimes pour essayer d’atteindre le dernier carré d’une Coupe du monde. Après le Cameroun en 1990 et le Sénégal en 2002, le Ghana peut être le troisième pays africain à aller chercher un quart de finale du Mondial. C’est en tout cas, avec la réussite des Black Stars, la septième fois consécutive qu’un pays africain arrive en 1/8e de finale de cette compétition. Malgré cela, le fait que le pays organisateur n’ait pas véritablement fait le poids (Afrique du Sud), que deux gros bras annoncés ait coulé (Cameroun, Côte d’Ivoire) tandis que le Nigéria et l’Algérie ont été logiquement éliminés, reporte tous les espoirs sur le Ghana, qui affrontera les Etats-Unis en 1/8e de finale. Avec son groupe très jeune, les fils d’Abedi Pelé, ou propre comme au figuré, pourront compter sur le soutien du public local.
« C'est important pour nous et pour l'Afrique. Je suis encore très ému, j'espère que nous allons bénéficier du soutien de toute la population sud-africaine et du continent africain. On n'a pas vraiment le temps de se réjouir de la qualification, car le match contre les Etats-Unis, c'est déjà demain ou presque », a expliqué le sélectionneur serbe des Black Stars, Milovan Rajevac, qui sait qu’il faudra enfin réussir à marquer autrement que sur pénalty pour s’imposer. « C'est vraiment difficile à expliquer ce manque de réalisme, car des occasions, on s'en crée beaucoup. J'aimerais moi aussi qu'on marque de vrais buts et que les attaquants soient plus réalistes devant le but adverse. Pour la suite de la compétition, il est important qu'on soit plus efficace », a demandé le technicien des Black Stars, qui sait qu’avec un tableau plutôt dégagé des favoris jusqu’en demi-finales, l’espoir le plus fou est permis.
Source: Foot01.com
« C'est important pour nous et pour l'Afrique. Je suis encore très ému, j'espère que nous allons bénéficier du soutien de toute la population sud-africaine et du continent africain. On n'a pas vraiment le temps de se réjouir de la qualification, car le match contre les Etats-Unis, c'est déjà demain ou presque », a expliqué le sélectionneur serbe des Black Stars, Milovan Rajevac, qui sait qu’il faudra enfin réussir à marquer autrement que sur pénalty pour s’imposer. « C'est vraiment difficile à expliquer ce manque de réalisme, car des occasions, on s'en crée beaucoup. J'aimerais moi aussi qu'on marque de vrais buts et que les attaquants soient plus réalistes devant le but adverse. Pour la suite de la compétition, il est important qu'on soit plus efficace », a demandé le technicien des Black Stars, qui sait qu’avec un tableau plutôt dégagé des favoris jusqu’en demi-finales, l’espoir le plus fou est permis.
Source: Foot01.com
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