Au Gabon, 22 000 élèves ont obtenu, cette année, leur baccalauréat, soit 2 000 admis de plus que l’année dernière. Dans quelles universités et écoles supérieures vont entrer ces nouveaux bacheliers ?
La question est posée aux autorités, car les capacités d’accueil des universités gabonaises sont faibles.
Dans un passé récent, le gouvernement a massivement envoyé les jeunes Gabonais apprendre à l’étranger, mais la facture est trop lourde. Conséquence, les militaires au pouvoir gardent la majorité des étudiants à la maison. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Hervé Ndoume Essingone, l’a dit, samedi 6 juillet, lors d’une conférence de presse.
Le professeur Hervé Ndoume Essingone n’opte plus pour l’envoi tous azimuts des bacheliers gabonais à l’étranger. L’État a pris des dispositions pour inscrire, dans les établissements du pays, tous les nouveaux bacheliers, a-t-il annoncé.
« Les 22 000 bacheliers, nous allons pouvoir les accueillir aussi bien dans les établissements publics à hauteur de 16 000 et, pour le reste, dans nos meilleurs établissements d'enseignement privé », a précisé le ministre.
Hervé Ndoume Essingone a reconnu que les universités et grandes écoles gabonaises ne sont pas attractives. Programmes désuets, années académiques interminables, effectifs pléthoriques, grèves à répétition… Bref, ce triste tableau sera, dans quelques années, un lointain souvenir, a assuré le ministre convaincu, par ailleurs, que le Gabon sera bientôt une nouvelle destination universitaire pour les étudiants africains.
« Je reste convaincu que, dans les deux ans qui suivent, notre pays sera beaucoup plus attractif. Les nouvelles infrastructures en construction et, je dirais, la façon dont notre pays fait rêver aujourd'hui… sont autant d'éléments qui vont rendre la destination Libreville attractive », a-t-il déclaré.
Le Gabon ouvre cette année plusieurs nouveaux établissements supérieurs et offre 200 postes budgétisés pour recruter de nouveaux enseignants.
La question est posée aux autorités, car les capacités d’accueil des universités gabonaises sont faibles.
Dans un passé récent, le gouvernement a massivement envoyé les jeunes Gabonais apprendre à l’étranger, mais la facture est trop lourde. Conséquence, les militaires au pouvoir gardent la majorité des étudiants à la maison. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Hervé Ndoume Essingone, l’a dit, samedi 6 juillet, lors d’une conférence de presse.
Le professeur Hervé Ndoume Essingone n’opte plus pour l’envoi tous azimuts des bacheliers gabonais à l’étranger. L’État a pris des dispositions pour inscrire, dans les établissements du pays, tous les nouveaux bacheliers, a-t-il annoncé.
« Les 22 000 bacheliers, nous allons pouvoir les accueillir aussi bien dans les établissements publics à hauteur de 16 000 et, pour le reste, dans nos meilleurs établissements d'enseignement privé », a précisé le ministre.
Hervé Ndoume Essingone a reconnu que les universités et grandes écoles gabonaises ne sont pas attractives. Programmes désuets, années académiques interminables, effectifs pléthoriques, grèves à répétition… Bref, ce triste tableau sera, dans quelques années, un lointain souvenir, a assuré le ministre convaincu, par ailleurs, que le Gabon sera bientôt une nouvelle destination universitaire pour les étudiants africains.
« Je reste convaincu que, dans les deux ans qui suivent, notre pays sera beaucoup plus attractif. Les nouvelles infrastructures en construction et, je dirais, la façon dont notre pays fait rêver aujourd'hui… sont autant d'éléments qui vont rendre la destination Libreville attractive », a-t-il déclaré.
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