Joint par téléphone, M. Diop a indiqué que dans l’ensemble des pays placés sous sa juridiction (Guinée-Equatoriale, Congo-Brazzaville, RD-Congo, Angola et République Centrafricaine), « tout se passe normalement ».
Selon lui, les retards notés dans le démarrage du vote au Gabon s’explique par le fait que « les urnes nous ont été prêtées par le ministère gabonais de l’Intérieur et les commissions exigeaient des anneaux pour sceller les urnes ».
Environ 18.600 Sénégalais sont appelés aux urnes au Gabon.