Abdoulaye Ndiaye, Directeur des Radios et Télévisions a apporté des éclaircissements sur la mission de L’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (Artp) et la gestion de fréquence qui tourne autour de deux (2) points. Evoquant la mission de l’Artp, Mr Ndiaye a expliqué que : «L’Artp est chargée, pour le compte de l’Etat, de la gestion, de la planification, de l’attribution, de l’assignation et du contrôle du spectre de fréquences radioélectriques, ainsi que des conditions d’utilisation des fréquences ». Ce qui lui permet à ce titre, «d’assurer la gestion et la surveillance du spectre des fréquences relatives aux télécommunications, à la radiodiffusion et à la télévision ».
Pour ce qui est de la gestion des fréquences à l’ARTP, Abdoulaye Ndiaye est revenu sur les principes de base. « Le spectre hertzien est une ressource limitée et un bien public relevant de l’autorité de l’Etat, qui doit être géré efficacement pour le plus grand bénéfice de l’ensemble de la collectivité. Partager au mieux le spectre entre les différents utilisateurs (publics, privés) en conformité avec les engagements internationaux de l’Etat ». Le Directeur des Radios et Télévisions, a aussi rappelé les missions techniques de la Direction des Radiocommunications. Ces missions permettent d’assurer la planification, la gestion et le contrôle du spectre des fréquences, la gestion des plans de fréquences pour le compte de l’Etat du Sénégal et des attributaires de licences, autorisations et agréments et également la définition des conditions d’agrément préalable des équipements, des laboratoires et des installateurs d’appareils radioélectriques.
« Lorsque deux ondes radioélectriques de même fréquence se rencontrent, se produit un phénomène d’interférence ou brouillage. Les ondes radioélectriques se propagent et ne s’arrêtent pas à la frontière des pays d’où la nécessité d’une coordination internationale. La gestion du spectre aux niveaux national et international est basée sur la gestion des interférences. La gestion des interférences conduit à segmenter les bandes de fréquences en les attribuant à des usages spécifiques: on parle alors de « Planification », a expliqué Abdoulaye Ndiaye.
Dans le souci d’atteindre des performances élevées dans sa mission de gestion et de contrôle du spectre fréquentiel, la Direction des radiocommunications a prévu dans ses futurs budgets d’investissement, «l’ Acquisition de nouveaux équipements, d’équipements de contrôle et de mesure qui permettront de renforcer les outils de radio surveillance légère et d’équiper un laboratoire de tests, la mise en place d’un laboratoire de mesures, le réaménagement de la salle SIGAF pour en faire un laboratoire de tests et de mesures à des fins d’études et de prévisions des situations rencontrées sur le terrain… ».
Pour ce qui est de la gestion des fréquences à l’ARTP, Abdoulaye Ndiaye est revenu sur les principes de base. « Le spectre hertzien est une ressource limitée et un bien public relevant de l’autorité de l’Etat, qui doit être géré efficacement pour le plus grand bénéfice de l’ensemble de la collectivité. Partager au mieux le spectre entre les différents utilisateurs (publics, privés) en conformité avec les engagements internationaux de l’Etat ». Le Directeur des Radios et Télévisions, a aussi rappelé les missions techniques de la Direction des Radiocommunications. Ces missions permettent d’assurer la planification, la gestion et le contrôle du spectre des fréquences, la gestion des plans de fréquences pour le compte de l’Etat du Sénégal et des attributaires de licences, autorisations et agréments et également la définition des conditions d’agrément préalable des équipements, des laboratoires et des installateurs d’appareils radioélectriques.
« Lorsque deux ondes radioélectriques de même fréquence se rencontrent, se produit un phénomène d’interférence ou brouillage. Les ondes radioélectriques se propagent et ne s’arrêtent pas à la frontière des pays d’où la nécessité d’une coordination internationale. La gestion du spectre aux niveaux national et international est basée sur la gestion des interférences. La gestion des interférences conduit à segmenter les bandes de fréquences en les attribuant à des usages spécifiques: on parle alors de « Planification », a expliqué Abdoulaye Ndiaye.
Dans le souci d’atteindre des performances élevées dans sa mission de gestion et de contrôle du spectre fréquentiel, la Direction des radiocommunications a prévu dans ses futurs budgets d’investissement, «l’ Acquisition de nouveaux équipements, d’équipements de contrôle et de mesure qui permettront de renforcer les outils de radio surveillance légère et d’équiper un laboratoire de tests, la mise en place d’un laboratoire de mesures, le réaménagement de la salle SIGAF pour en faire un laboratoire de tests et de mesures à des fins d’études et de prévisions des situations rencontrées sur le terrain… ».
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