En Guinée, les Forces vives dénoncent l'avant-projet de Constitution. Depuis la semaine dernière, le Conseil national de transition sillonne le pays pour mener une « campagne de vulgarisation » de la future loi fondamentale, avant son éventuelle adoption par référendum.
Alors que la date du retour à l'ordre constitutionnel en Guinée – initialement prévu pour la fin de l'année 2024 – n'a toujours pas été fixée, la coalition de partis d'opposition et d'organisation de la société civile dénoncent une « campagne déguisée de promotion et de justification de la candidature du général Mamadi Doumbouya à la prochaine présidentielle ».
Cette situation s'inscrit dans un contexte où les voix critiques sont mises sous silence et où le gouvernement multiplie les sorties en faveur d'une candidature du président de la transition.
« C'est le projet de Constitution qui aurait été vulgarisé auprès des populations pour leur approbation. C'est d'abord une campagne politicienne pour mettre à plat les dispositions de la Charte sur la non-candidature des responsables de la transition. Et deuxièmement, l'enrichissement illicite à travers tous les moyens qui vont être sortis », note Abdoul Sacko, le coordinateur national du Forum des Forces sociales, organisation membre des Forces vives.
« Personne ne sait quel est le budget qui a été alloué à cela. Sans aucune transparence sur ce qui a été fait, des observations et des recommandations faites par les uns et les autres sur l'avant-projet de Constitution, vous partez sur le terrain pour dilapider des ressources publiques, dit-on dans le cadre de la vulgarisation, dans un contexte de rareté des ressources publiques. Mais encore, cette vulgarisation ne s'inscrit dans aucune logique, en termes de chronogramme. Personne ne sait quelle est la suite de cela, dans un contexte où la population tire le diable par la queue au quotidien », ajoute-t-il.
Alors que la date du retour à l'ordre constitutionnel en Guinée – initialement prévu pour la fin de l'année 2024 – n'a toujours pas été fixée, la coalition de partis d'opposition et d'organisation de la société civile dénoncent une « campagne déguisée de promotion et de justification de la candidature du général Mamadi Doumbouya à la prochaine présidentielle ».
Cette situation s'inscrit dans un contexte où les voix critiques sont mises sous silence et où le gouvernement multiplie les sorties en faveur d'une candidature du président de la transition.
« C'est le projet de Constitution qui aurait été vulgarisé auprès des populations pour leur approbation. C'est d'abord une campagne politicienne pour mettre à plat les dispositions de la Charte sur la non-candidature des responsables de la transition. Et deuxièmement, l'enrichissement illicite à travers tous les moyens qui vont être sortis », note Abdoul Sacko, le coordinateur national du Forum des Forces sociales, organisation membre des Forces vives.
« Personne ne sait quel est le budget qui a été alloué à cela. Sans aucune transparence sur ce qui a été fait, des observations et des recommandations faites par les uns et les autres sur l'avant-projet de Constitution, vous partez sur le terrain pour dilapider des ressources publiques, dit-on dans le cadre de la vulgarisation, dans un contexte de rareté des ressources publiques. Mais encore, cette vulgarisation ne s'inscrit dans aucune logique, en termes de chronogramme. Personne ne sait quelle est la suite de cela, dans un contexte où la population tire le diable par la queue au quotidien », ajoute-t-il.
Alors que la date du retour à l'ordre constitutionnel en Guinée – initialement prévu pour la fin de l'année 2024 – n'a toujours pas été fixée, la coalition de partis d'opposition et d'organisation de la société civile dénoncent une « campagne déguisée de promotion et de justification de la candidature du général Mamadi Doumbouya à la prochaine présidentielle ».
Cette situation s'inscrit dans un contexte où les voix critiques sont mises sous silence et où le gouvernement multiplie les sorties en faveur d'une candidature du président de la transition.
« C'est le projet de Constitution qui aurait été vulgarisé auprès des populations pour leur approbation. C'est d'abord une campagne politicienne pour mettre à plat les dispositions de la Charte sur la non-candidature des responsables de la transition. Et deuxièmement, l'enrichissement illicite à travers tous les moyens qui vont être sortis », note Abdoul Sacko, le coordinateur national du Forum des Forces sociales, organisation membre des Forces vives.
« Personne ne sait quel est le budget qui a été alloué à cela. Sans aucune transparence sur ce qui a été fait, des observations et des recommandations faites par les uns et les autres sur l'avant-projet de Constitution, vous partez sur le terrain pour dilapider des ressources publiques, dit-on dans le cadre de la vulgarisation, dans un contexte de rareté des ressources publiques. Mais encore, cette vulgarisation ne s'inscrit dans aucune logique, en termes de chronogramme. Personne ne sait quelle est la suite de cela, dans un contexte où la population tire le diable par la queue au quotidien », ajoute-t-il.
Alors que la date du retour à l'ordre constitutionnel en Guinée – initialement prévu pour la fin de l'année 2024 – n'a toujours pas été fixée, la coalition de partis d'opposition et d'organisation de la société civile dénoncent une « campagne déguisée de promotion et de justification de la candidature du général Mamadi Doumbouya à la prochaine présidentielle ».
Cette situation s'inscrit dans un contexte où les voix critiques sont mises sous silence et où le gouvernement multiplie les sorties en faveur d'une candidature du président de la transition.
« C'est le projet de Constitution qui aurait été vulgarisé auprès des populations pour leur approbation. C'est d'abord une campagne politicienne pour mettre à plat les dispositions de la Charte sur la non-candidature des responsables de la transition. Et deuxièmement, l'enrichissement illicite à travers tous les moyens qui vont être sortis », note Abdoul Sacko, le coordinateur national du Forum des Forces sociales, organisation membre des Forces vives.
« Personne ne sait quel est le budget qui a été alloué à cela. Sans aucune transparence sur ce qui a été fait, des observations et des recommandations faites par les uns et les autres sur l'avant-projet de Constitution, vous partez sur le terrain pour dilapider des ressources publiques, dit-on dans le cadre de la vulgarisation, dans un contexte de rareté des ressources publiques. Mais encore, cette vulgarisation ne s'inscrit dans aucune logique, en termes de chronogramme. Personne ne sait quelle est la suite de cela, dans un contexte où la population tire le diable par la queue au quotidien », ajoute-t-il.
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