Les leaders de l’opposition guinéenne, le 4 octobre 2013, lors d’une conférence visant à dénoncer les irrégularités des élections législatives du 28 septembre dernier. De gauche à droite, Sidya Touré, Lansana Kouyaté et Cellou Dalein Diallo. CELLOU BINANI / AFP
C’est une semaine décisive qui s’ouvre à Conakry. Neuf jours après le scrutin, le pays est toujours plongé en pleine crise post-électorale. Ce lundi matin, les leaders de l’opposition se retrouvent pour tenter d'harmoniser une nouvelle fois leurs positions.
L’intervention des ambassadeurs occidentaux et du facilitateur international, samedi 5 octobre, s’est traduite par une reprise du dialogue. Mais ce dialogue est ténu et le fil qui relie les protagonistes est plus fin que jamais.
Appel au calme
La communauté internationale, qui a lancé un appel au calme, souhaite que la Céni publie les procès verbaux de bureaux de vote afin d’apporter de la transparence dans le processus ; elle demande aussi que la commission réexamine les résultats dans les circonscriptions litigieuses.
L’opposition souhaite la même chose mais n’a plus la moindre confiance dans le travail de la Céni. L’opposition met la pression à la fois sur la médiation internationale et sur la commission afin d’obtenir des éclaircissements sur toute une série de procès verbaux qui n’ont pas été pris en compte pour diverses raisons.
Feuilleton
Le feuilleton de la centralisation des résultats tient en haleine l’ensemble des Guinéens, qui ont de plus en plus de mal à comprendre ce qui passe désormais dans les arcanes de la commission électorale.
Source : Rfi.fr
L’intervention des ambassadeurs occidentaux et du facilitateur international, samedi 5 octobre, s’est traduite par une reprise du dialogue. Mais ce dialogue est ténu et le fil qui relie les protagonistes est plus fin que jamais.
Appel au calme
La communauté internationale, qui a lancé un appel au calme, souhaite que la Céni publie les procès verbaux de bureaux de vote afin d’apporter de la transparence dans le processus ; elle demande aussi que la commission réexamine les résultats dans les circonscriptions litigieuses.
L’opposition souhaite la même chose mais n’a plus la moindre confiance dans le travail de la Céni. L’opposition met la pression à la fois sur la médiation internationale et sur la commission afin d’obtenir des éclaircissements sur toute une série de procès verbaux qui n’ont pas été pris en compte pour diverses raisons.
Feuilleton
Le feuilleton de la centralisation des résultats tient en haleine l’ensemble des Guinéens, qui ont de plus en plus de mal à comprendre ce qui passe désormais dans les arcanes de la commission électorale.
Source : Rfi.fr
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