Certains manifestants avaient appelé au départ du gouvernement eu égard à ses efforts jugés insuffisants pour mettre un terme à l'insécurité dans le centre dont le l'épisode le plus emblématique reste le massacre de 160 civils à Ogossagou le 23 mars derniers.
En rencontrant la ligue des imams du Mali après la journée de contestation contre son gouvernement, Ibrahim Boubacar Keita s'est tout d'abord offusqué des slogans hostiles aux forces étrangères que certains manifestants ont lancé lors du meeting.
Le président a estimé que dans le contexte malien, il faut l'union sacrée , car d'après lui, les terroristes et leurs alliés pourraient tirer profit de ces différents mouvements.
''Nous demandons à nos concitoyens de nous faire confiance'' a-t-il ajouté.
Les manifestants exigeaient la démission du premier ministre.
Mais pour le chef de l'Etat ''le chef du gouvernement et lui sont en mission de protection et de défense du pays''.
En rencontrant la ligue des imams du Mali après la journée de contestation contre son gouvernement, Ibrahim Boubacar Keita s'est tout d'abord offusqué des slogans hostiles aux forces étrangères que certains manifestants ont lancé lors du meeting.
Le président a estimé que dans le contexte malien, il faut l'union sacrée , car d'après lui, les terroristes et leurs alliés pourraient tirer profit de ces différents mouvements.
''Nous demandons à nos concitoyens de nous faire confiance'' a-t-il ajouté.
Les manifestants exigeaient la démission du premier ministre.
Mais pour le chef de l'Etat ''le chef du gouvernement et lui sont en mission de protection et de défense du pays''.
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