«Comment avez-vous vécu ce match ?
Ça a été un match avec les deux scénarios, la tristesse et la joie. Ce que je peux dire, c’est que c’est un des moments les plus heureux de ma vie, au niveau de ma carrière de joueur professionnel. C’est un moment unique. J’ai pleuré et je pleurais encore il y a cinq minutes avec ma famille, mes amis. Je suis très heureux. J’ai gagné tout ce que je pouvais gagner avec mes clubs, mais il manquait quelque chose avec l’équipe nationale. J’ai réussi ! Je n’y suis pas parvenu de la manière que j’imaginais, et j’étais un peu dégoûté de devoir sortir, je ne voulais pas gagner comme ça. Mais le Portugal le méritait.
Est-ce un accomplissement ?
Ça représente des années d’efforts. Personne ne croyait en nous. Nous avons eu un peu de chance, mais il en faut. Pour gagner la Ligue des champions, le Real en a eu besoin. Il n’y a pas de champions qui n’ont pas de chance. Le pays le mérite, l’entraîneur le mérite, tout le staff le mérite. J’y ai toujours cru. Je me souviens qu’avant le match contre la Croatie l’entraîneur avait dit qu’il ne rentrerait que le 11 et qu’il serait fêté en rentrant. J’ai vu beaucoup de gens se moquer de ses paroles. Mais cela m’a beaucoup marqué et en tant que capitaine je devais montrer que, en football, tout est possible.
Avez-vous dit à Eder qu’il marquerait le but de la victoire ?
Ce sont des sensations que nous avons. Je suis dans le football depuis très longtemps et j’ai des «feelings». Je sentais qu’il allait résoudre notre problème. Je ne suis pas un magicien ni un voyant, mais je sens les choses, toujours. Je suis heureux pour lui. Il n’avait presque pas joué dans cet Euro et il marque le but de la victoire. Je suis heureux aussi pour notre entraîneur, qui a été la personne la plus importante dans cet Euro. A titre personnel, j’ai essayé d’aider l’équipe comme je le pouvais, ce soir. Depuis le début, j’essaie d’aider les plus jeunes, d’être un leader je pense le faire de manière correcte, parfois un peu moins bien mais je donne toujours le maximum pour la sélection, pour notre pays. Je remercie aussi les émigrants. Aujourd’hui à la sortie de Marcoussis, ils nous ont transmis leur énergie. Ce titre, c’est le leur.»
Ça a été un match avec les deux scénarios, la tristesse et la joie. Ce que je peux dire, c’est que c’est un des moments les plus heureux de ma vie, au niveau de ma carrière de joueur professionnel. C’est un moment unique. J’ai pleuré et je pleurais encore il y a cinq minutes avec ma famille, mes amis. Je suis très heureux. J’ai gagné tout ce que je pouvais gagner avec mes clubs, mais il manquait quelque chose avec l’équipe nationale. J’ai réussi ! Je n’y suis pas parvenu de la manière que j’imaginais, et j’étais un peu dégoûté de devoir sortir, je ne voulais pas gagner comme ça. Mais le Portugal le méritait.
Est-ce un accomplissement ?
Ça représente des années d’efforts. Personne ne croyait en nous. Nous avons eu un peu de chance, mais il en faut. Pour gagner la Ligue des champions, le Real en a eu besoin. Il n’y a pas de champions qui n’ont pas de chance. Le pays le mérite, l’entraîneur le mérite, tout le staff le mérite. J’y ai toujours cru. Je me souviens qu’avant le match contre la Croatie l’entraîneur avait dit qu’il ne rentrerait que le 11 et qu’il serait fêté en rentrant. J’ai vu beaucoup de gens se moquer de ses paroles. Mais cela m’a beaucoup marqué et en tant que capitaine je devais montrer que, en football, tout est possible.
Avez-vous dit à Eder qu’il marquerait le but de la victoire ?
Ce sont des sensations que nous avons. Je suis dans le football depuis très longtemps et j’ai des «feelings». Je sentais qu’il allait résoudre notre problème. Je ne suis pas un magicien ni un voyant, mais je sens les choses, toujours. Je suis heureux pour lui. Il n’avait presque pas joué dans cet Euro et il marque le but de la victoire. Je suis heureux aussi pour notre entraîneur, qui a été la personne la plus importante dans cet Euro. A titre personnel, j’ai essayé d’aider l’équipe comme je le pouvais, ce soir. Depuis le début, j’essaie d’aider les plus jeunes, d’être un leader je pense le faire de manière correcte, parfois un peu moins bien mais je donne toujours le maximum pour la sélection, pour notre pays. Je remercie aussi les émigrants. Aujourd’hui à la sortie de Marcoussis, ils nous ont transmis leur énergie. Ce titre, c’est le leur.»
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