La Cour suprême américaine, majoritairement conservatrice, a écouté jeudi 25 avril les arguments en faveur de l'immunité pénale absolue invoquée par Donald Trump en tant qu'ex-président. Sa future décision risque de retarder encore son procès fédéral à Washington.
En décidant de se saisir de cette question le 28 février, la plus haute juridiction des États-Unis a déjà différé de plusieurs mois le procès fédéral de l'ex-président républicain pour tentative d'inverser illégalement les résultats de l'élection de 2020 remportée par le démocrate Joe Biden.
Si les neuf juges se sont montrés généralement sceptiques face à l'immunité absolue dont se prévaut le candidat républicain à l'élection présidentielle de novembre, plusieurs – en particulier parmi les conservateurs – ont insisté sur les répercussions à long terme de leur décision.
"Nous rédigeons une règle pour la postérité", a ainsi observé Neil Gorsuch, en référence au caractère inédit de la question.
En décidant de se saisir de cette question le 28 février, la plus haute juridiction des États-Unis a déjà différé de plusieurs mois le procès fédéral de l'ex-président républicain pour tentative d'inverser illégalement les résultats de l'élection de 2020 remportée par le démocrate Joe Biden.
Si les neuf juges se sont montrés généralement sceptiques face à l'immunité absolue dont se prévaut le candidat républicain à l'élection présidentielle de novembre, plusieurs – en particulier parmi les conservateurs – ont insisté sur les répercussions à long terme de leur décision.
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