Aqmi a revendiqué le 21 septembre l'enlèvement cinq jours plus tôt sur le site d'une mine d'uranium du groupe français Areva à Arlit (nord du Niger) de cinq Français, d'un Togolais et d'un Malgache.
Les autorités françaises ont assuré qu'elles étaient prêtes à engager des pourparlers avec Aqmi pour obtenir la libération de ces otages. Selon des sources maliennes et françaises, les otages sont détenus dans des collines désertiques du Timétrine, dans le nord-est du Mali, à une centaine de kilomètres de l'Algérie. Parmi ces otages, la Française Françoise Larribe a peu de temps avant son enlèvement, subi une chimiothérapie, selon un de ses proches. Selon des intermédiaires qui ont rencontré ses ravisseurs, elle a un besoin urgent de soigner un cancer.
De son côté le président du Mali, Amadou Toumani Touré, a affirmé samedi à Montreux ne pas avoir de nouvelle sur le sort des otages. Interrogé sur le fait de savoir s'il avait des nouvelles sur la santé des otages, le chef d'Etat malien a répondu : "Malheureusement non. Mais je n'ai pas de mauvaise nouvelle non plus". "Je n'ai pas eu de mauvaise nouvelle, mais j'avoue que je ne peux pas, d'une manière nette, dire ce qui se passe", a souligné M. Touré, lors d'un entretien avec RFI et France 24 en marge du Sommet de la francophonie. Il a également contesté des informations selon lesquelles les otages seraient détenus dans le nord-est du Mali. "Avec tous les efforts que nous avons fait, nous n'avons jamais percé ce secret" de leur lieu de détention, a-t-il affirmé.
Interrogé sur une éventuelle intervention armée de la France, le président malien a précisé que "la France ne nous a rien demandé". "Pour le moment, nous n'avons pas de troupes françaises sur le sol malien. Si la demande est faite nous apprécierons", a dit M. Touré, ajoutant que la réponse à la menace d'Aqmi était "sahélo-saharienne". "Nous ne sommes pas incapables de résoudre ces questions", a-t-il précisé, soulignant cependant que la France soutenait le Mali par l'échange de renseignements, d'équipement militaire et de formation des troupes.
Les autorités françaises ont assuré qu'elles étaient prêtes à engager des pourparlers avec Aqmi pour obtenir la libération de ces otages. Selon des sources maliennes et françaises, les otages sont détenus dans des collines désertiques du Timétrine, dans le nord-est du Mali, à une centaine de kilomètres de l'Algérie. Parmi ces otages, la Française Françoise Larribe a peu de temps avant son enlèvement, subi une chimiothérapie, selon un de ses proches. Selon des intermédiaires qui ont rencontré ses ravisseurs, elle a un besoin urgent de soigner un cancer.
De son côté le président du Mali, Amadou Toumani Touré, a affirmé samedi à Montreux ne pas avoir de nouvelle sur le sort des otages. Interrogé sur le fait de savoir s'il avait des nouvelles sur la santé des otages, le chef d'Etat malien a répondu : "Malheureusement non. Mais je n'ai pas de mauvaise nouvelle non plus". "Je n'ai pas eu de mauvaise nouvelle, mais j'avoue que je ne peux pas, d'une manière nette, dire ce qui se passe", a souligné M. Touré, lors d'un entretien avec RFI et France 24 en marge du Sommet de la francophonie. Il a également contesté des informations selon lesquelles les otages seraient détenus dans le nord-est du Mali. "Avec tous les efforts que nous avons fait, nous n'avons jamais percé ce secret" de leur lieu de détention, a-t-il affirmé.
Interrogé sur une éventuelle intervention armée de la France, le président malien a précisé que "la France ne nous a rien demandé". "Pour le moment, nous n'avons pas de troupes françaises sur le sol malien. Si la demande est faite nous apprécierons", a dit M. Touré, ajoutant que la réponse à la menace d'Aqmi était "sahélo-saharienne". "Nous ne sommes pas incapables de résoudre ces questions", a-t-il précisé, soulignant cependant que la France soutenait le Mali par l'échange de renseignements, d'équipement militaire et de formation des troupes.
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