Les pluies extrêmes qui s’abattent sur le pays depuis octobre dernier, ont fait déborder les berges de l’Oubangui, un affluent du fleuve Congo. Le 29 décembre, le pays avait déclaré l’état d’urgence pour inondations.
Clare Nullis, porte-parole de l'Organisation météorologique mondiale, a décrit cet événement métééorologique comme étant "le plus exceptionnel depuis les inondations catastrophiques de décembre 1961." L'experte ajoute qu'en décembre 2023, le débit mesuré était de 74 300 mètres cubes par seconde. Et le 9 janvier, il avait atteint 75 000 mètres cubes par seconde."
Selon Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination de l’aide humanitaire de l’ONU (OCHA) il y aurait actuellement 1,8 million de sinistrés au Congo. 350.000 d’entre eux nécéssitent une aide humanitaire dont l’acheminement reste problématique .
Selon ce responsable, "les agences des Nations unies ont élaboré un plan de réponse en collaboration avec le gouvernement, doté d'un budget total d'environ 26 millions de dollars. Les secteurs prioritaires concernent les abris, la sécurité alimentaire, la santé, l'eau potable, et les installations sanitaires."
Une allocation de 3,6 millions de dollars du Fonds central d'intervention d’urgence (CERF) a d’ores et déjà été allouée pour répondre aux besoins les plus urgents de 270.000 personnes. Cependant, pour mettre en œuvre l’ensemble de la réponse, un financement international plus important sera nécessaire selon Jens Laerke.
Selon Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination de l’aide humanitaire de l’ONU (OCHA) il y aurait actuellement 1,8 million de sinistrés au Congo. 350.000 d’entre eux nécéssitent une aide humanitaire dont l’acheminement reste problématique .
Selon ce responsable, "les agences des Nations unies ont élaboré un plan de réponse en collaboration avec le gouvernement, doté d'un budget total d'environ 26 millions de dollars. Les secteurs prioritaires concernent les abris, la sécurité alimentaire, la santé, l'eau potable, et les installations sanitaires."
Une allocation de 3,6 millions de dollars du Fonds central d'intervention d’urgence (CERF) a d’ores et déjà été allouée pour répondre aux besoins les plus urgents de 270.000 personnes. Cependant, pour mettre en œuvre l’ensemble de la réponse, un financement international plus important sera nécessaire selon Jens Laerke.
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