Moustapha Niasse leader de l'Alliance des forces de progrès (Afp)
L’Alliance des forces de progrès (Afp) s’est prononcée sur la psychose qui habite les pèlerins qui sont bloqués depuis quelques jours à l’aéroport de Dakar. Pour le bureau politique, «l’organisation du pèlerinage à la Mecque n’a pu échapper à cette logique infernale, qui a conduit au calvaire des milliers de pèlerins qui ont payé, à la sueur de leur front, un prix très élevé». Malgré ce sacrifice, a indiqué le communiqué du bureau politique, «les pèlerins sont exposés à de graves dangers, à cause d’un avion vétuste, mal entretenu et incapable de soutenir le rythme des rotations auxquelles il est soumis». Le Bureau politique de l’Afp tient Abdoulaye Wade lui-même et son gouvernement pour responsables de la sécurité des pèlerins qui ne sauraient être abandonnés pour des «profits nébuleux en faveur d’une clientèle insatiable».
Les progressistes se sont, en outre, intéressés aux bateaux taxis qui vont bientôt commencer la navette entre la banlieue et la capitale. «Il y a lieu de souligner que le dossier des bateaux taxis, qui remonte à 1996, n’a jamais été un projet du régime de Me Abdoulaye Wade et qu’au demeurant les termes de référence de ce dossier n’ont pas été mis en application comme établi préalablement», ont-ils précisé. C’est pourquoi le bureau politique de l’Afp engage «les pseudo-libéraux à éviter de mettre en danger les citoyens qui empruntent ce moyen de transport dont la fiabilité technique et l’exploitation financière ne sont pas établies de manière transparente».
Au plan politique, les camarades de Moustapha Niasse ont estimé que le dialogue exigé par l’opposition porte sur le processus électoral, pour éviter «la réédition des mascarades de 2007», à l’occasion des prochaines élections locales. «Il est évident que dans ce cadre, une forfaiture de plus serait la goutte d’eau qui plongerait le Sénégal dans une zone de turbulence où les tenants du pouvoir laisseraient beaucoup de plumes, peut-être toutes leurs plumes, en subissant le sort de tous les dictateurs anachroniques, embourbés dans la ruse, qui n’ont pas su appréhender et saisir le temps du vrai dialogue», ont-ils souligné.
Le Bureau politique a, ainsi, lancé un appel à la jeunesse sénégalaise, pour l’inviter à tourner définitivement le dos «aux charlatans du dimanche et à intégrer les cadres de lutte animés par les patriotes et les démocrates, pour mettre fin à leurs souffrances qui ne sont que l’expression de la désolation générale des populations».
Les progressistes se sont, en outre, intéressés aux bateaux taxis qui vont bientôt commencer la navette entre la banlieue et la capitale. «Il y a lieu de souligner que le dossier des bateaux taxis, qui remonte à 1996, n’a jamais été un projet du régime de Me Abdoulaye Wade et qu’au demeurant les termes de référence de ce dossier n’ont pas été mis en application comme établi préalablement», ont-ils précisé. C’est pourquoi le bureau politique de l’Afp engage «les pseudo-libéraux à éviter de mettre en danger les citoyens qui empruntent ce moyen de transport dont la fiabilité technique et l’exploitation financière ne sont pas établies de manière transparente».
Au plan politique, les camarades de Moustapha Niasse ont estimé que le dialogue exigé par l’opposition porte sur le processus électoral, pour éviter «la réédition des mascarades de 2007», à l’occasion des prochaines élections locales. «Il est évident que dans ce cadre, une forfaiture de plus serait la goutte d’eau qui plongerait le Sénégal dans une zone de turbulence où les tenants du pouvoir laisseraient beaucoup de plumes, peut-être toutes leurs plumes, en subissant le sort de tous les dictateurs anachroniques, embourbés dans la ruse, qui n’ont pas su appréhender et saisir le temps du vrai dialogue», ont-ils souligné.
Le Bureau politique a, ainsi, lancé un appel à la jeunesse sénégalaise, pour l’inviter à tourner définitivement le dos «aux charlatans du dimanche et à intégrer les cadres de lutte animés par les patriotes et les démocrates, pour mettre fin à leurs souffrances qui ne sont que l’expression de la désolation générale des populations».
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