Selon le ministre en charge de l’Assainissement, les solutions passent par un plan d’assainissement et le relogement des populations inondées dans d’autres sites pour les épargner de multiples problèmes dont ceux liés à l’hygiène. Omar Guèye a rappelé ainsi des dispositions du conseil présidentiel sur les inondations.
Le ministre de l’Assainissement s’est appesanti sur la nécessité de voir les élèves, encore sur l’ancien site du lycée de Joal, quitter et rejoindre les nouveaux locaux avec la finition des travaux. Au niveau de l’ancien site du lycée Léopold Sédar Senghor, les occupants des lieux inondés ont fait des témoignages sur l’occupation de cette zone des tannes. Cette périphérie marécageuse de Joal-Fadiouth n’était rien d’autre qu’une zone de rizières. Suffisant pour qu’Omar Guèye invite ses habitants à redynamiser la culture du riz en développant cette activité. Son avis reste de voir ériger en ces lieux des bassins de rétention.
Au chapitre des mesures idoines, il a évoqué un plan directeur pour la réorganisation de l’occupation de l’espace. Dans le cadre de l’intercommunalité des deux collectivités locales voisines que sont la communauté rurale de Nguéniène et la commune de Joal-Fadiouth, des lotissements vont permettre de recaser les populations de cette zone sous l’emprise des eaux en toute saison. Car les pluies torrentielles ont fini de montrer que l’eau ne se détourne pas de son lit naturel et va aussi vers les basses pentes.
Le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement était accompagné au cours de son périple par Alioune Badara Diop, préfet du département de Mbour, et l’honorable député madame Cira Ndiaye, entre autres.
avec Sudonline
Le ministre de l’Assainissement s’est appesanti sur la nécessité de voir les élèves, encore sur l’ancien site du lycée de Joal, quitter et rejoindre les nouveaux locaux avec la finition des travaux. Au niveau de l’ancien site du lycée Léopold Sédar Senghor, les occupants des lieux inondés ont fait des témoignages sur l’occupation de cette zone des tannes. Cette périphérie marécageuse de Joal-Fadiouth n’était rien d’autre qu’une zone de rizières. Suffisant pour qu’Omar Guèye invite ses habitants à redynamiser la culture du riz en développant cette activité. Son avis reste de voir ériger en ces lieux des bassins de rétention.
Au chapitre des mesures idoines, il a évoqué un plan directeur pour la réorganisation de l’occupation de l’espace. Dans le cadre de l’intercommunalité des deux collectivités locales voisines que sont la communauté rurale de Nguéniène et la commune de Joal-Fadiouth, des lotissements vont permettre de recaser les populations de cette zone sous l’emprise des eaux en toute saison. Car les pluies torrentielles ont fini de montrer que l’eau ne se détourne pas de son lit naturel et va aussi vers les basses pentes.
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