Depuis 2002, la journée internationale de la paix est célébrée à travers le monde le 21 septembre. C’est ainsi qu’une pluie de messages est délivrée et des manifestations organisées. Le groupe Agora de recherche pour l’éducation aux droits de l’enfant et la paix (Gra-Redep) ne pouvait être en reste.
Son président Gaspard On’okoko Onosal , a fait face à la presse ce mardi dans les locaux de son association sise à Grand-Yoff pour délivrer son message.
Il ne s’est pas cependant pas appesanti sur un bilan Afrique de la paix comme l’avait suggéré l’Assemblée de l’Union Africaine (UA).
Ainsi, le message du Gra-Redep se veut différent et constructif. Son directeur ne cherche pas à se faire plaisant. M. Onosal prévient, d’ailleurs, avant de délivrer son message, «cette année, nous essayons de diffuser dans le monde un message qui peut paraître a priori dérangeant ». « Nous devons agir maintenant pour assurer la viabilité des sociétés mixtes », déclare M. Onosal. La solution résiderait dans ce fait. En effet, dit-il, la plupart des conflits notés sont issus de clivages religieux ou ethniques. Cultiver la tolérance doit donc être un début dans les processus de paix.
Sur un autre registre, invité en marge de la conférence de presse à faire le point sur la situation d’un point de vu local, M. Onosal marque une satisfaction mitigée. Il n’y a pas grand-chose à souligner au Sénégal à l’en croire. La paix existe. Cependant, tout n’est pas rose. Car si dans certains pays la presse, par exemple, est muselée et bâillonnée, tel ne serait pas le cas au Sénégal où quand même indique-t-il la presse est poursuivie quand ses vérités dérangent. Par conséquent, « le Sénégal n’est ni un paradis ni un pays de grande démocratie et le procès fait au journaliste Latif Coulibaly en est une preuve et si l’on ne prend garde ce phénomène peut se développer et nous faire tomber dans l’irréparable ». Pour étayer ses propos, le Président du Gra-Redep a évoqué l’exemple du Rwanda qui n’a pas su mettre un terme aux querelles que les populations qualifiaient de moindre degré et qui les ont finalement coulées.
Son président Gaspard On’okoko Onosal , a fait face à la presse ce mardi dans les locaux de son association sise à Grand-Yoff pour délivrer son message.
Il ne s’est pas cependant pas appesanti sur un bilan Afrique de la paix comme l’avait suggéré l’Assemblée de l’Union Africaine (UA).
Ainsi, le message du Gra-Redep se veut différent et constructif. Son directeur ne cherche pas à se faire plaisant. M. Onosal prévient, d’ailleurs, avant de délivrer son message, «cette année, nous essayons de diffuser dans le monde un message qui peut paraître a priori dérangeant ». « Nous devons agir maintenant pour assurer la viabilité des sociétés mixtes », déclare M. Onosal. La solution résiderait dans ce fait. En effet, dit-il, la plupart des conflits notés sont issus de clivages religieux ou ethniques. Cultiver la tolérance doit donc être un début dans les processus de paix.
Sur un autre registre, invité en marge de la conférence de presse à faire le point sur la situation d’un point de vu local, M. Onosal marque une satisfaction mitigée. Il n’y a pas grand-chose à souligner au Sénégal à l’en croire. La paix existe. Cependant, tout n’est pas rose. Car si dans certains pays la presse, par exemple, est muselée et bâillonnée, tel ne serait pas le cas au Sénégal où quand même indique-t-il la presse est poursuivie quand ses vérités dérangent. Par conséquent, « le Sénégal n’est ni un paradis ni un pays de grande démocratie et le procès fait au journaliste Latif Coulibaly en est une preuve et si l’on ne prend garde ce phénomène peut se développer et nous faire tomber dans l’irréparable ». Pour étayer ses propos, le Président du Gra-Redep a évoqué l’exemple du Rwanda qui n’a pas su mettre un terme aux querelles que les populations qualifiaient de moindre degré et qui les ont finalement coulées.
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