La soutenabilité de la dette d’un montant de plus de 65 milliards de dollars est le plus gros défi pour le Kenya et le FMI. À la fin de l'année, le ministre des Finances s'était même résolu à abandonner le remboursement d'une partie de ses eurobonds.
Les autorités ont donc poursuivi les réformes fiscales, imposant de nouvelles taxes impopulaires au sein de la population et conduisant à des manifestations parfois violentes. Plusieurs morts avaient été décomptés en juillet dernier.
En plus, l'inflation devrait se poursuivre au moins durant la première moitié de 2024, ce qui ne devrait pas apaiser les mécontentements. Le FMI insiste également auprès des autorités sur la nécessité de poursuivre les efforts contre la corruption et pour la bonne gouvernance.
Parmi les facteurs qui ont mis l'économie kényane au défi figure la multiplication des sécheresses de ces deux dernières années. Malgré cela, la croissance de plus de 5 % est portée par le relèvement du secteur agricole. Le FMI salue les réformes liées au climat, mais il faut faire encore plus, selon l'institution, notamment améliorer la gestion des risques de catastrophe et attirer davantage de financements climatiques.
Les autorités ont donc poursuivi les réformes fiscales, imposant de nouvelles taxes impopulaires au sein de la population et conduisant à des manifestations parfois violentes. Plusieurs morts avaient été décomptés en juillet dernier.
En plus, l'inflation devrait se poursuivre au moins durant la première moitié de 2024, ce qui ne devrait pas apaiser les mécontentements. Le FMI insiste également auprès des autorités sur la nécessité de poursuivre les efforts contre la corruption et pour la bonne gouvernance.
Parmi les facteurs qui ont mis l'économie kényane au défi figure la multiplication des sécheresses de ces deux dernières années. Malgré cela, la croissance de plus de 5 % est portée par le relèvement du secteur agricole. Le FMI salue les réformes liées au climat, mais il faut faire encore plus, selon l'institution, notamment améliorer la gestion des risques de catastrophe et attirer davantage de financements climatiques.
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